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Adresse:Ensemble de l'Homme de Fer (Strasbourg)

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5, 6 Place de l' Homme de Fer, 26, 27, 28 place Kléber, 3, 12 rue du Fossé des Tanneurs et 56 rue du Jeu-des-enfants (Strasbourg)

Image principale




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Date de construction 1954 à 1958
Architecte Charles Gustave Stoskopf
Walter Oehler
Alfred Fleischmann
Ingénieur Louis Hiss
Maître d'ouvrage Association syndicale de Reconstruction de Strasbourg
Structure Immeuble
Courant architectural moderne

Date de construction 1959 à 1961
Structure Maison

Date de ravalement environ 2002
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Historique

Date avant 1955


Pont du Hibou lors de fouilles en 1993

Au niveau de l'actuel n°5 place de l'Homme de Fer, se trouvait un ancien pont, démoli en 1837, dont voici l'historique1 :

  • Steininbrucke, 15e siècle
  • Brucke bei Kuppellinde, 1530
  • Pont des Hiboux, 1786-1829
  • Pont de Charleroy, 1794
  • Pont de Charles-sur-Sambre, 1795, démoli en 1837

A la place de l'ensemble actuel se trouvaient deux îlots d'habitations et de commerces. La place de l'Homme de Fer était alors plus petite qu'actuellement.

Parmi les bâtiment démolis on trouvait selon le plan de 1913 :

  • 1 et 2 place du Jeu des Enfants (Kinderspielplatz)
  • 5 place de l'Homme de Fer / 1 rue du Fossé des Tanneurs : le magasin de tissus Mathieu (immeuble d'angle construit vers 1900)
  • 6 place de l'Homme de Fer : autre magasin de tissus Mathieu situé en face du précédent, également dans un immeuble d'angle vers 1900
  • 50-52 rue du Vieux Marché-aux-Vins, le restaurant Valentin Sorg
  • 7 place de l'Homme de Fer / 54 rue du Vieux Marché-aux-Vins
  • 27 place Kléber, immeuble construit au XVIIIe d'après l'aménagement du plan Blondel (l'immeuble est isolé et possède un pignon aveugle, comme l'ébauche d'un projet). Banque Schwartz & Cie2
  • 28 place Kléber, immeuble vers 1900. Restaurant à l'Ours Blanc

Ces maisons disparaitront à la fin des années 1950, après la construction du nouvel ensemble.

Ensemble de l'Homme-de-Fer

Date 1954 à 1958
Architecte Charles Gustave Stoskopf
Walter Oehler
Alfred Fleischmann
Ingénieur Louis Hiss
Maître d'ouvrage Association syndicale de Reconstruction de Strasbourg



extrait du plan Blondel de 1765, nouvel alignement de la place Kléber dans sa partie ouest

L'opération de l'Homme-de-Fer permet d'achever le projet de Grande Percée, devant relier le nord et le sud du centre ville3. Elle a notamment permis d'améliorer l'accès depuis le nord de la Ville. L'opération est également connue sous le nom de "Grande Percée". L'architecte en chef, Charles-Gustave Stoskopf, fait remonter l'origine de ce projet à Jean-François Blondel4. Ce dernier a créé un plan d'urbanisme en 1765, modifiant notamment certaines voies en vue de faciliter la circulation mais aussi pour des raisons esthétiques. Comme on peut le voir sur le plan ci-contre une nouvelle voie était créée au nord-ouest de la place Kléber. Finalement quasiment aucune réalisation ne naîtra de ce plan, hormis l'Aubette5. Sur le plan de 1910 par Fritz Beblo, la liaison nord-ouest depuis la place Kléber semble abandonnée au profit d'autres jonctions6.

Les fouilles préalables à la construction ont mis au jour des stèles funéraires7, qui sont visibles au Musée Archéologique.

plan de masse avec les différents bâtiments

L'ensemble comporte six bâtiments dans un épannelage varié, du R+1 au R+14 (Tour Valentin Sorg) s'intégrant à la ville ancienne. Dans le détail, les bâtiments sont situés :

  • Bâtiment A : 26 et 27 place Kléber : R+5. Réalisé entre 1955 et 1958, la façade a été modifiée en 1980 par A3 Architecture
  • Bâtiment B : 28 place Kléber : R+4 (immeuble de forme arrondie)
  • Bâtiment C : 6 place de l'Homme de Fer, 3 rue du Fossé des Tanneurs : R+6 avec un passage central
  • Bâtiment D : 5 place de l'Homme de Fer, R+14 (Tour Valentin Sorg) (15 étages indiqués sur le plan)
  • Bâtiment E : 56 rue du Jeu-des-enfants : R+4
  • Bâtiment F : 12 rue du Fossé-des-Tanneurs : R+1 à l'arrière et R+2 côté rue. Dernière réalisation de cet ensemble entre 1959 et 1961.

Cette opération, comportant 79 logements et une quinzaine de commerces, financée par le MRU (Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme) est portée par l'Association syndicale de Reconstruction de Strasbourg (créé en 1948). Cette association avait pour but de rassembler les dommages de guerre afin de dédommager les propriétaires sinistrés dans des opérations collectives. L'opération de l'Homme-de-Fer ne fait pas que remplacer les mètres carrés démolis (l'îlot de l'Homme-de-Fer n'est d'ailleurs que faiblement endommagé) puisqu'elle est principalement une opération d'urbanisme en plein coeur de la ville. L'ensemble comporte plus de 12000m² comprenant également des commerces. La surface démolie est légèrement inférieure3.

Les deux îlots d'habitations ont été démolis après la construction du nouvel ensemble en raison de la présence d'importants commerces (dont le restaurant Valentin Sorg, les tissus Mathieu et la Banque Schwartz & Cie) et le souhait des habitants de ne pas quitter cet emplacement8. Cette contrainte explique la complexité de la mise en œuvre du projet, ainsi que la taille de la tour qui devait compenser les mètres carrés perdus au sol. Les commerces cités rejoindront des locaux commerciaux du nouvel ensemble, le restaurant sera situé tout en haut de la tour, élément faisant partie des négociations pour son déménagement.

D'après l'historien de l'architecture Gauthier Bolle, cette opération a pu être rapidement mise en place « grâce à la formule inédite des Immeubles Sans Affectation Individuelle (ISAI) », l'Etat finançant les premiers immeubles de l'après-guerre. Cette mesure originale, réglementée dès septembre 1945, a permis un démarrage rapide des reconstructions en favorisant les opérations collectives9.

L'architecte en chef chargé du projet, Charles Gustave Stoskopf, a argumenté en faveur de sa tour devant les édiles locaux, notamment en exposant qu'elle ne ferait pas d'ombre à la Cathédrale. La tour « n'est située dans l'axe d'aucune artère orientée sur la flèche de la cathédrale »10. Pour palier aux attaques concernant la hauteur de la tour, un dessin comparatif montre qu'elle s'inscrit dans le même gabarit que les édifices importants de la ville (notamment les églises).

Le projet est finalisé en 1952/53. L'autorisation de construire de la Préfecture est donnée, au début de l'année 1954, malgré les réserves de l'administration municipale (insuffisance de la portée de l'échelle des sapeurs-pompiers) et des réticences du service des Monuments Historiques11.

La construction a été rapide grâce à l'utilisation d'éléments préfabriqués. Les travaux ont débuté en mars 1954. Les premiers logements ont été occupés en octobre 195612. L'achèvement complet de l'opération se situe en 1958.

Les architectes sont Gustave Stoskopf, associé avec deux de ses anciens élèves, Walter Oehler et Alfred Fleichmann, futurs piliers de son agence strasbourgeoise13.

Ingénieur Conseil: Louis Hiss

Entreprise de construction: Société alsacienne de travaux publics. (S.A.T.P.)

Pour une genèse plus complète du projet de l'Homme-de-Fer on pourra consulter les documents en bibliographie, notamment la partie dédiée dans la thèse de Gauthier Bolle sur l'architecte Charles-Gustave Stoskopf, soutenue en 2014 (et publié en 2017 sous forme d'ouvrage).


Descriptif

L'ensemble, nous l'avons vu, possède un épannelage varié, entre un et quatorze étages, dessinant une courbe depuis la place Kléber menant à la rue du Jeu des Enfants. On accède à la rue du Fossé-des-Tanneurs à travers un portique, véritable cadre assurant la transition vers la vieille ville. L'aspect de ce cadre a diminué depuis l'aménagement en 1994 de la place de l'Homme-de-Fer par Guy Clapot : on manque de recul pour en apprécier l'effet.

Quoique d'aspect moderne, les immeubles sont imprégnés de classicisme, on trouve le plus souvent un socle composé d'un rez-de-chaussée surmonté d'un entresol, et au dernier étage souvent un niveau en retrait surmonté d'un débord de toiture saillante, ou une corniche comme dans le bâtiment arrondi.

Plusieurs immeubles, dont la tour, possèdent une structure orthogonale en saillie. Entre le quadrillage de la tour se trouvaient des dalles de pierre14. Les gardes corps des derniers niveaux en retrait sont constitués de claustras préfabriqués en béton15, de même que les cages d'escaliers visibles rue du Fossé-des-Tanneurs.

L'aspect courbé de l'immeuble de la place Kléber se retrouve dans l'escalier hélicoïdal situé place de l'Homme de Fer, menant à une brasserie.

Le projet a fait l'objet d'un soin particulier dans son intégration au bâti environnant, par exemple la forme de la toiture à forte pente, et les tuiles en ardoise du n°26-27 se calquent sur l'immeuble qui était situé au 23 place Kléber16. Mais cette contextualisation va bien au delà de la toiture, si on prend compte du gabarit des immeubles, celui situé au 56 rue du Jeu-des-Enfants s'intègre bien dans cette rue et tient compte des bâtiments plus anciens. C'est encore plus vrai pour le dernier immeuble construit, le bâtiment F, 12 rue du Fossé des Tanneurs (1959/61) qui ira jusqu'à recréer une toiture en bâtière avec charpente en bois et tuiles traditionnelles en queue de castor, rompant ainsi de façon encore plus radicale avec la modernité apparente de l'ensemble17.

La taille des fenêtres est homogène, elles sont de forme carrée18. Elles sont censées reprendre l'aspect « normalisé » des fenêtres de l'Aubette, bien que celles du projet de Stoskopf soient plus petites et ne reprennent pas l'étagement de celles de l'édifice du XVIIIe siècle. La hauteur du corps de bâtiment principal reprend aussi la hauteur du bâtiment de l'Aubette19. Les fenêtres de plusieurs bâtiments sont soulignées par un cadre légèrement en saillie.

La plupart des logements disposent de balcons ou de loggias.

Projet & construction

Vue d'ensemble

Tour Valentin-Sorg (5 place de l'Homme de Fer)

Cette tour fait 14 étages pour 48 mètres de hauteur. Elle fait partie d'un ensemble de six immeubles édifiés suite à la destruction d'un îlot de bâtiments sur l'actuelle place de l'Homme de Fer.

La taille de la tour s'explique par la nécessité de reloger l'ensemble des familles qui se trouvaient dans le pâté d'immeubles démolis, et qui souhaitait rester sur place. La tour a été construite avant la démolition des immeubles8.

Elle offre de beaux points de vue sur Strasbourg. Autrefois au dernier étage se trouvait le restaurant Valentin-Sorg. Ce restaurant se situait dans un immeuble 50-52 rue du vieux Marché-aux-Vins, dans le pâté de maisons détruites après 1955.

On peut lire dans "Strasbourg du passé au présent" de Philippe Dollinger aux éditions Dernières Nouvelles de Strasbourg (1972), au sujet de cette tour : "Dans la vieille ville, souvent, les maisons ont été rebâties dans le style du XVIIIe siècle, pour ne pas déparer les quartiers historiques. Pourtant l'architecture moderne a tenu à marquer son triomphe en plein cœur de la cité par une haute tour de quinze étages, qui a au moins le mérite de permettre un beau coup d'œil sur la cathédrale et les vieux toits".

extrait du plan Morant (1548). A gauche, la place des Cordeliers (actuel place Kléber), sur la droite, la Pfennigturm ("Tour du Trésor").

L'architecte, Charles-Gustave Stoskopf défendra toute sa vie cette tour, arguant notamment de l'impératif de reconstituer les mètres carrés démolis après la construction, ce qui n'a pas facilité la tâche. Il qualifiera également la tour de beffroi, rappelant aussi le parallèle avec la Pfennigturm (Tour aux Pfennigs ou "Tour du Trésor") autrefois située non loin de la. L'architecte répondra aussi à des articles des Dernières Nouvelles d'Alsace, comme en 1987, en répondant aux attaques dont ses travaux ont fait l'objet, en rappelant le contexte dans lesquels ils s'inscrivaient et leur continuité historique20,21.

Tour en chantier

Vues contemporaines

6 place de l'Homme de Fer et 3 rue du Fossé-des-Tanneurs (R+6)

Pendant longtemps au premier étage se trouvait un bar nommé "Waikiki". L'accès à ce commerce, en mezzanine, se fait par un escalier extérieur monumental.

L'immeuble comporte une importante ouverture (un "tunnel") permettant l'accès à la rue du Fossé des Tanneurs

28 place Kléber (R+4)

Le bâtiment, de forme arrondie, remplace l'ancien n°28 place Kléber. Il fait la jonction entre le 27 place Kléber donnant directement sur la place et 3 rue du Fossé-des-Tanneurs

26-27 place Kléber (R+5)

Dernier édifice construit au sein du complexe, entre 1955 et 1958, voir la page dédiée à cette adresse.

Cet immeuble possède une toiture en ardoise dont le style se rapproche de l'immeuble ancien mitoyen (ancien n°23 place Kléber, aujourd'hui remplacé par l'actuel Maison rouge), il s'agit de l'une des seules concessions au passé de cet ensemble immobilier22.

56 rue du Jeu des Enfants (R+4)

Cet immeuble assure la transition avec la rue du Jeu-des-Enfants et son bâti plus ancien. Il est surmonté d'une corniche saillante. Le premier étage possède une grande fenêtre en bandeau soulignée par un cadre.

Depuis 2020 environ, la façade pignon donnant sur la place de l'Homme-de-Fer est décorée d'une peinture en trompe l'oeil.


Vues de détails

Démolition

Date 1958


Démolition de l'ancien îlot après la construction de l'ensemble des nouveaux bâtiments, incluant également les n°27 et 28 place Kléber.

Bâtiment F : 12 rue du Fossé-des-Tanneurs (R+1 à R+2)17

Date 1959 à 1961



Construction d'une maison, faisant toujours partie de l'ensemble, tout en étant séparée physiquement par une cour et d'un aspect beaucoup plus modeste et traditionnel.

Le maître d'ouvrage est toujours l'Association syndicale de Reconstruction de Strasbourg, mandataire de l'indivision Mathieu pour laquelle cet immeuble est destiné. Les architectes sont les mêmes que pour le reste de l'ensemble immobilier.

La demande de permis de construire date du 7/07/1959, il est accepté le 14/02/1960

Les travaux débutent dès décembre 1959, ils sont achevés en 1961.

Sur les plans d'origine, au premier étage se trouve une fenêtre en bandeau, comparable à celle située 56 rue du Jeu-des-Enfants. Cette fenêtre unique est rapidement modifiée, dès 1962, par le premier occupant, une banque, la Compagnie Algérienne de Crédit et de Banque, qui demande d'y créer trois fenêtres à la place en raison de l'aménagement intérieur projeté.

Descriptif

Cette maison contraste avec le reste de l'ensemble immobilier. Elle est détachée de l'ensemble principal et comporte une toiture en bâtière, contrairement aux toitures terrasses de la plupart des autres bâtiments. Cette fois-ci, au lieu du béton les murs sont en brique et la charpente traditionnelle en bois, avec tuiles en queue de castor23. Elle assure la transition avec la rue du Fossé-des-Tanneurs dont les immeubles sont de plus faible gabarit. A l'arrière, l'édifice ne comporte qu'un étage.


Ravalement (Tour Valentin Sorg)

Date environ 2002


Ravalement en 1975. On avait remplacé le revêtement défaillant et opté pour un rose passé, la couleur du grès des Vosges.

55 ans de la tour24

Date 2010


Bel article dans les DNA du 21 mars 2010 sur l'historique du restaurant occupant le dernier étage de la tour et offrant une vue panoramique sur la ville.

Au 14e et 15e étages, le restaurant Valentin-Sorg a fermé ses portes en 1996 pour des raisons de sécurité.

Autres vues sur cette adresse

Vues prises depuis cette adresse

Références

  1. Seyboth Das Alte Strassburg (Livre)
  2. Pour une étude complète sur cette ancienne adresse : 27 place Kléber [archive], Maisons de Strasbourg, Jean-Michel Wenling
  3. a et b Charles-Gustave_Stoskopf,_Thèse_par_Gauthier_Bolle,_2014, page 106 et 223-238
  4. Archives d'Alsace (Site de Strasbourg) - Cote 60J55, "La Percée Place Kléber - Place de l'Homme de Fer", G. Stoskopf, page 3, non daté
  5. Et la démolition de l'ancienne Pfalz datant du gothique
  6. Grande Percée, projet de 1910
  7. Batir 67, mai 1957 (revue), page 59
  8. a et b Batir 67, mai 1957 (revue), page 62
  9. Charles-Gustave_Stoskopf,_Thèse_par_Gauthier_Bolle,_2014, page 227 et 229
  10. Gustave Stoskopf, Grande percée exposé des motifs, 19 juin 1953, page 4, cité dans Gauthier Bolle, Thèse, 2014, op. cit, page 232
  11. Thèse Gauthier Bolle, op cit, pages 231 à 236
  12. Reconstruction Strasbourg (1948-1962), page 27
  13. L'école_d'architecture_de_Strasbourg,_une_douce_modernité_en_Alsace, 2022, page 83
  14. En raison de leur poids, ces plaques, qui commençaient a se détacher dès octobre 1968, ont été occultées ou supprimées. Informations relevées dans La maison rouge et l'homme de fer (Livre), page 115
  15. Batir 67, mai 1957 (revue), page 61
  16. remplacé par la Maison Rouge qui elle même reprendra le principe d'ardoise
  17. a et b Archives de Strasbourg et de l'Eurométropole - Cote 807W206
  18. Sauf celles du premier étage du bâtiment F
  19. Gauthier Bolle, op cite, page 232
  20. Thèse Gauthier Bolle, op cit, pages 234 à 236
  21. Archives d'Alsace (Site de Strasbourg) - Cote 60J55 "La Percée Place Kléber - Place de l'Homme de Fer", G. Stoskopf, non daté, page 4
  22. Batir_67,_mai_1957_(revue), page 60
  23. Cette forme urbaine n'est pas sans rappeler un édifice de transition construit par Paul Dopff dans les années 1930 pour l'OPHBM de Strasbourg au 20-24 rue de la Division Leclerc, celui-ci allait jusqu'à mimer le bâtiment voisin
  24. DNA - Dernières Nouvelles d'Alsace (journal quotidien) - DNA du 21/03/2010