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Discussion adresse:6 Rue de la Gare (Vendenheim)

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Crédit Industriel d'Alsace et de Lorraine - 76 rue de la Gare en 1936

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C'est étrange en 1936, une agence du Crédit Industriel d'Alsace et de Lorraine était enregistrée au n°76 rue de la Gare, à Vendenheim [archive] ! Il n'y a jamais eu 76 adresses rue de la Gare... Peut être l'ensemble du nouveau quartier avant l'attribution de nom aux rues adjacentes ? Là, aussi c'était uniquement résidentiel et locatif. Les banques se regroupaient plutôt du côté de l'ancien village. À moins que... le 6 rue de la Gare fut le 76 rue de la Gare en 1936 ?

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P.B. : "Ou une faute... Du 6 au 76..."

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La maison 76 (sur environ 380 en 1930), située rue de la Gare ? Une boîte postale ?

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P.B. : "Une faute de frappe dans l'annuaire."

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76 = 7b 7c 7e ? Une erreur sur les chiffres pour une banque...

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Entre 1919 et 1923, on retrouve également des adresses de ce type :

  • Charles Waltz, représentant, 95 rue de la Gare, Vendenheim

Il semblerait qu'après 1918, les français ont conservé les numéros des maisons, y adjoignant le nom de la rue (en français). En effet, on retrouve une famille "Waltz" à la maison 95 Stadtweg en 1880 et 1885, dans les recensements allemands. La maison 76 (également rue de la Gare) serait un peu plus proche du Centre Ancien, vers la rue Lignée et la rue Principale. La rue de la Gare serait alors plus longue qu'actuellement englobant l'actuelle rue du Général de-Gaulle (qui de fait ne s'appelait pas comme cela dans les années 20).

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1927 : Kuhn Marguerite - 114 rue de la Gare à Vendenheim

Zilliox, 105 rue de la Gare à Vendenheim

etc.

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P.B. : "Aucun bâtiment n'est construit en tant que poste entre 1850 et 1870 à Vendenheim. Il est donc possible que ce bâtiment soit devenu bureau de poste plus tard qu'on ne le croit (fin XIXe par exemple)."

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P.B. : "Selon moi, l'édifice est antérieur à 1870. Les postes allemandes sont beaucoup plus riches, et de style historisant."

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Archives du Bas-Rhin

  • cote 69 AL 266 : Postes et télégraphes ; télégraphe électrique (1880-1915),
  • 69 AL 268-275 : Postes et télégraphes,
  • 69 AL 76 : agences postales, postes téléphoniques, prix du port des lettres (1874-1918),

etc.

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Affiches de Strasbourg du 11 novembre 1896 : comment fonctionnait la poste il y a 86 ans ? "25 octobre 1810 [..] Les communes de Donnenheim, Bilwisheim, Mittelschaeffosheim, Olwisheim, Eckwersheim et Vendenheim, Lampertheim, Mundolsheim, Berstett, Rumersheim et Gimbrett auront leur dépôt de correspondance à Olwisheim : un messager commun portera et retirera leurs dépêches trois fois par semaine de la poste de Brumath..[..]"

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Il y avait un bureau de poste à Vendenheim en 1876, dont dépendaient d'autres communes du secteur :

  • Berstett
  • Eckwersheim
  • Lampertheim
  • Mittelschaeffolsheim
  • Nieffern
  • Olwisheim

(Mundolsheim dépendait de Strasbourg, tout comme le fort ; Pfettisheim dépendait de Truchtersheim, etc.) source : Liste de toutes les localités, du nombre des habitants, des femmes (fermes ?), maisons de forestiers, moulins, tuileries, etc., de l'Alsace-Lorraine. A l'usage de l'administration des postes - mars 1876 - Schultz (Strasbourg)

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Elsass-Lothringen: Handbuch für Elsaß-Lothringen 1884 [archive] : Postämter III -> Vendenheim -> Postverwalter : Muth + les communes liées à Vendenheim ... Betriebinspection (Eisenbahn) -> Vendenheim : Prehn, Vogt, Guth, Kauffmann, Gröher, Grimmer ; Metzgerthor (Straßburg) ; Brumath ; etc.

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P.B. : "Mais au même numéro que les Brandt. Pas clair... En tout cas, ça donne une idée de la date d'arrivée de la poste dans le quartier. Et dans le recensement de 1880 ?"

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En 1865/1866 [archive] : 127 Stadtweg (p.10-11) => Müller Jean, préposé des Postes.

En 1880, on bascule plutôt autour du 98 (et +) Stadtweg (p. 103) => ?

Pour la famille Brandt, cela ne me choque pas : deux foyers (n° de liste nominative) différents à la même adresse, surtout dans le cas d'une auberge (ou hôtel). D'ailleurs, les recensements sont complétés en rouge. Avant ou après décembre 1885 ? Il me semble avoir également lu une mention concernant deux "étrangers" de nationalités suisse et italienne, installés dans la commune avant 1900. Du côté de Wilhelm Schüle, la "Obstbauschule et winterschule" étaient à Brumath (Graffenbourg ?), en 1892. Migration entre 1895 et 1907 à Vendenheim ? Théoriquement, Brumath n'était dans pas le "kreis Strassburg-land" et à l'époque il y avait une "Technische Winterschule Schule" à Strasbourg, en lien avec la "realschule" St Louis. On trouve aussi un certain "Hartwirth", weisenbaumeister für Strassburg-land kreis, vivant à Vendenheim, etc. Le "Postverwalter" local ne restait pas longtemps (quelques mois, années) sur place et de grandes restructurations administratives (gendarmerie, poste, canal, chemins de fer, etc.) semblaient régulières (tous les 10 ans ?). Le portail numérique des archives bavaroises [archive] fournit beaucoup (trop ?) de pistes. Je ne comprends toujours pas pourquoi les "Ue[Ü]bersichtskarte kreis Strass[ß]burg-land - Gemarkung V[W]endenheim" ont disparu (avant 1990 et la numérisation). Vols ?

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  • recensement de Vendenheim en 1856 - 7 M 766 - page 11 - 122 bis route impériale : Jehl François Nicolas, chef de station de chemin de fer, 45 ans ; Remlinger Jean, garde barrière, 46 ans ; Oltz Charles Nicolas cf.Généalogie geneanet-edroth [archive], cabaretier, 31 ans, son épouse Eve née Maechling et leur fille Marie-Eve ; Müller Jean, proposé à la poste aux lettres, 30 ans ; Chaid chaid (?) Jean Nicolas, garde barrière, 47 ans ; Herrmann Jacques, surveillant du télégraphe, 43 ans
  • recensement de Vendenheim en 1861 - 7 M 766 - page 11 - 127 route impériale : Oltz Charles, propriétaire cabaretier, 39 ans, son épouse Eve née Maechling et leur fille Marie-Eve ; Müller Jean, employé de la poste au pensionaire (?), 34 ans ; Breit Georges, originaire de la Seine, locataire et directeur ? au chemin de fer, 30 ans ; Meyer Philippe, locataire et homme d'équipe au chemin de fer, 29 ans
  • recensement de Vendenheim en 1866 - 7 M 766 - page 10 - 127 Stattweg/Stadtweg : Oltz Charles, cabaretier, 41 ans, son épouse Eve née Maechling et leur fille Marie-Eve ; Müller Jean, préposé des Postes, 39 ans ; Clermont Joseph, vérificateur des tabacs, 31 ans ; Conrad Victor, chef d'équipe, 35 ans
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Brumath semble avoir été (un court instant, fin XIXe) dans le canton de "Straßburg-Land" !

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Aux archives de l'Eurométropole, il y a un dossier concernant ce bâtiment !

  • 977 W 1-104 - Dossiers sécurité des communes de la CUS. - 1953/1999
  • 977 W 95-100 - Vendenheim. - 1972/1998
  • 977 W 96 - "Forêt, rue de la : Sté des chiens bergers allemands, Pétanque fédinoise - dossiers 1 et 2. Gare, rue de la : restaurant de la gare, poste (n°6), restaurant (n°13) - dossiers 3 à 5. Général de Gaulle, rue du : salon de coiffure (n°1), cabinet médical (n°3), boulangerie-pâtisserie (n°7a), cabinet Paysan (n°12), magasin de presse (n°13b), Dany Fleurs (n°13c), salon de coiffure (n°14), salon de coiffure (n°18) - dossiers 6 à 13. Général Leclerc, rue du : cabinet d'orthophonie, boulangerie (n°1), restaurant "Au Tilleul" (n°2), commerce vidéos (n°4), boucherie (n°5), quincaillerie (n°6), pharmacie (n°9), CMDP (n°11), Poste (n°25), école primaire (n°25), commerce (n°35), commerce (n°42) - dossiers 14 à 25 Jeanne d'Arc, rue: pharmacie - dossier 16. Lampertheim, rue de : centre omnisports, cabinet de kiné (n°2a), Hôtel Auberge de la Forêt (n°199) - dossiers 27 à 29. - 1972/1998 "
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Winterschule

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1916: "o Vendenheim, 29. Juni. Den zahlreichen Schülern des Direktors Wilhelm Schüle in Vendenheim dürfte die Mitteilung willkommen sein, daß dieser am 1. Juli b. 3. auf eine 50 jährige Beamtentätigteit zurücklichen kam. Am 1. Juli 1866 würde ihm, der gerade feine Studien an der land-unb forstwirtschaftlichen Akademie Hohenheim, seinem Geburtsort, beendigte, die Stelle eines Affiften feines Vaters, R. Garteninspektors und Vorstands der K. Gartenbauschule am genannten Institut (der jetzigen landwirtschaftlichen Hochschule) übertragen. Drei Jahre später übernahm Schüle die Obst-unb Gartenbaulehrerstelle an der damaligen landwirtschaftlichen Gartenbauschule (späteren Obstbauschule) und Landwirtschastlichen Winterschule zu Karlsruhe. Während des Winters 1873/74 hatte er die landwirtschaftliche Kreiswinterschule zu Eppingen zu verwesen, wobei er dort einen Gartenbauverein gründete. 1879 folgte Schüle der Berufung zum Direktor der Kaiserlichen Obst-unb Gartenbauschule Grafenbürg zu Brumath, mit welchem Institut 1890 die landwirtschaftliche Winterschule vereinigt würbe. Nach deren Verlegung nach Straßburg infolge der Aufgebung der Obstbauschule, führte Schüle die Vorstandschaft an dieser Anstalt — bis jeßt während 24 Wintern — weiter unb übernahm gleichzeitig die Leitung des Unterrichts im Obstbau, womit die Abhaltung von Haupt-unb Neben-Obstbaukursen in Straßburg unb Colmar verfnüpft ist. Schüle ist Ehrenpräsident, korrespondierendes und Ehrenmitglied einer größeren Zahl von Vereinen und des Gartenbauvereins für das Grossherzogtum Baben, dessen langjähriges Vorstandsmitglied und (von 1875 bis 1879) zweiter Präsident er war. Eine Lebensbeschreibung Schüles ist anlässlich seines 50 jährigen Gärtnerjubiläums in Nr. 13 von Möllers Deutscher Gärtnerzeitung erschienen. Auf den 10. August b. z. fällt Schüles 70. Geburtstag. " https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k94285617/f15.image.r=%22winterschule%22vendenheim?rk=407727;2

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"Elsass-Lothringen. Obstbaufurse. Zur Ausbildung von Landwirten, Gärtnern, Gemeindeobstbaumwärtern, Feldhütern (Bann- warten), Straszenwärtern usw., sowie ferner von Beamten der Wege-, Wasser- und Meliorations- bauverwaltung, von Forstbeamten und son- fügen Freunden des Obstbaues in ber Auszucht und Pflege von Obstbäumen, sowie in ber Ernte, Verpackung und Verwertung bei Obstes werden unter Leitung des Direftors Schüle fol- genbe Unterrichtsfurse abgehalten : A. Hauptobbauurjus. , Zur Ausbildung von jüngern Landwirten und Gärtnern, ferner von Strazenwärtern, Gemeinde- obftbaumwärtern unb Feldhütern (Bannwarten) ufw. J. Fünfwöchiger Haupt-Obftbautursus zu Strasburg (im Botal ber Kaiserlichen landwirt- schaftlichen Winterschule, Afademiestrasze 2c, im Hintergebäude ber „Alten Atademie", bei ber Husarentajerne) : *) 1. Teil. Von Nontag ben 16. März, vormittag» halb 10 Ahr, bis Samt» tag ben 28. März, nachmittags 5 Ußr ; b) II. Teil — alt Fortsetzung —, von Montag ben 17. August, vormittag» halb 10 Uhr, bi» Samstag ben 29. August, nachmittags 5 1ihr; c) III. Teil — al» St^luS —, von Montag ben 26. Oktober, vormittag» halb 10 Uhr, bi« Samstag ben 31. Oktober, nachmittags 5 Uhr ; II. Fünfwöchiger Haupt-Obstbautursus zu Kolmar (im Sokal ber Kaiserlichen landwirtschaftlichen Winterschule [Katharinenschulgebäude], Rufacherstragze); a) 1. Teil. Ton Sontag ben 2. April, vormittag«  halb 10 1hr, bi« Donnerstag ben 16. April, nachmittags 5 1hr ; b) 11. Teil — al» Fort- setzung —, von Montag ben 3. August, vor- mittag» halb 10 U^r, bi» Freitag ben 14. August, nachmittags 5 1hr ; c) III. Teil — als Schluß —, von Montag ben 12. Oktober, vormittag» halb 10 Uhr, bi» SamStag ben 17. Oktober, nach- mittag» 5 Uhr. B. Neben-Obfbaukursus. Zur Ausbildung von Wege-, Wasser- unb Me- liorationsbau- unb Forstbeamten, älteren Land- wirten unb Gärtnern unb sonstigen Freunden be» Obstbaues. 1. Zweiwöchiger Neben-Obstbau- furfu» zu Straßburg (im Sotal ber Kaiserlichen landwirtschaftlichen Winterschnle, Akademiestr. 2c, Hintergebäude ber „Alten Atademie", bei ber Husarenkaserne) : a) 1. Teil. Sor: Montag ben 23. März, vormittag» halb 10 Uhr, bis Mitt- moc -ben 25. Mär, nachmittags 5 Uhr; b) n. Teil — als Fortsetzung —, von Montag ben 24. August, vormittags halb 10 Uhr, bi» Sams- tag ben 29. Auguit, nachmittags 5 Uhr; c) in. Teil — als Schlus —, von Montag ben 26. Oktober, vormittag» halb 10 Uhr, bis Mitt- woc ben 28. Oftober, nachmittags 5 11hr. n. Zweiwöchiger Neben-Obstbaufursus zu Kolmar ms rr rmssommasanncez o rtna Kleines Fenilleton. — Die Gesundheitslehre sollte immer mehr dent Gedanken Bahn zu brechen suchen, das man vom Dielen Essen unb Trinken Frant werben fan, was sogar häufiger, wenn auc schleichender geschieht als bei ber landesüblichen Allerwelts, Erkältung. Schon Diogenes fagt: „Ein mit Spei- fen überladener Körper gleicht einem stets gefüllten Kornboden: an jenem nagen bie Krantheiten, an biefem bie Ratten". Unb Celsus ruft aus: „Mo- diene cibi, medicus sibi", b. h. Nägigkeit im Össen braucht leinen Doftor. Besonders ift tt ba» große ber Stoffwechselfrantheiten, welches bei ei niger Mägigteit im Offen unb Trinken bedeutend abnehmen würbe. Bor allem Nheumatis. m u» unb Gict würben nicht so viele sonft kräftige Personen wochenlang unb monatelang aufs Schmerzenslager werfen. Auc bie furcht bare Krebsfranfheit wirb vieljac al» eine Folge be« übermäßigen Fleischgenufies bei förper- lic untätiger Lebensweise angesehen. (?) Tie große Vermehrung aller Krantheiten am Ende des SB i n t e r $ hängt hauptsächlic mit ber Heberfütterung und Heberheizung be« Kör per« mährend ber vielen winterlichen Feste, Ber- ein»- unb Familienfeiern zusammen. Dr. Jom- barb in Senf hat 30 Jahre hindurc ble Zahl ber ärztlichen Befuge von fic trab Reben be freundeten Aersten notiert unb gefunden, baß stets in ben Monaten Sebruar, Mära, April bie Zahl ber ärztlichen Besuche am höch- sten ist, «Ifo bie Erfranfungen am aahlreichsten sind. Ter römische Schriftsteller Gellius erzählt, baß bie Nerate im altrömischen Staate ursprung. lic ein sehr schlechtes Einkommer besagen ; ert alt das auf feinen Kriegslorbeeren außruhende unb in feinen Reichtümern schwelgende Nömer- volt bar BöHlerei fic hingab, mürbe bet äratliche Beruf ein wirklicher „Mahrstand", ber sogar au großen Neichtümern führte. Das war bie Zeit, wo ein gewisser Apicius, als er nur noc 300 000 Taler in feinem Geldschrant adhlte, bem Hunger- tobe entgegengugehen fürchtete and fic deshalb bat Saban nahm. In bar S r * hie hr Saeit ift eine mehr segetarifche Tiit beson- berS angebracht and aeitgemis. Taranf weift un» bie Ratur hin, welche jest bie gesundesten Kräuter (Kreffe, Stapungel, Löwengahn • bergL.) wachien läßt; daran ermahnen uns verschiedene Religionen durc ihre Gesege fit bie gegenwärtige

(im Sotal ber Kaiserlichen landwirtschaftlichen Winterschule [Katharinenschulgebäude], Hufacher- fttaße) ; a) I. Teil. Von Montag ben 6. April, vormittag» halb 10 Uhr, bis Mittwoc ben 8. April, nachmittags 5 Ußt; b) II. Teil — als Fortsetzung —, von Montag ben 3. August, vor mittag» halb 10 Uhr, bi» SamStag ben 8. Slug., nachmittags 5 1Ihr ; c) III. Teil — al» Schluß — von Donnerstag ben 15. Oktober, vormittags halb 10 Uhr, bis SamStag ben 17. Oktober, nachmittags 5 11hr. Wegen Abhaltung ber Kurfe für ben Begirt Lothringen wirb durc ben Bejirtspräjidenten in Meg Bejtimmung getroffen. Jeder Teilnehmer an dem Haupt Obstbaubursus hat folgende Geräte mitzubringen : 1. Einen Spaten (Stechschaufel), 2. eine schmale Hacke, 3. eine Sandjchaujel, 4. eine Baumsäge, 5. einen Rindentrager (Baumicharre), 6. eine [male Rindenbürste au» Mes jingdraht, 7. einen Wundenreiniger, 8. eine Baumichere, 9. ein ©arten- ober Baummesser, 10. ein Bropi- messer, 11. ein Okuliermesser, 12. ein Abzieh- steinchen. Sei ben Teilnehmern an bem zweiwöchigen Nebenfursus genügt e», wenn jie ein Garten- ober Baummeser. ein Ofuliermesser unb ein Abziehsteinchen beiigen. Auf vorherige» Ansuchen ift Tirettor Schüle bereit, bie Geräte zu be- schaifen unb zum Selbstostenpreis abaugeben. Für Kofi unb Wohnung haben bie Teilnehmer selbst zu sorgen. Ter Unterricht wirb unentgelt lich erteilt. Würdigen unb minderbemittelnden Personen, insbesondere solchen, bie ben Haupt- Obstbautursus wiederholt bejuchen, können Bei- Hilfen zur ganzen ober teilweisen Bestreitung ber ihnen durc bie Teilnahme an bem Kursus er- wachienden Kosten bewilligt werben. Gesuche ber Gemeinde-Obstbaumwärter, Feldhüter unb andern Teilnehmern um Bewilligung von Beihilfen sind an ben zuständigen Kreisdireftor ober Polizei- präfibenten zu richten, welcher dieselben mit feinem Gutachten über Bedürftigkeit unb Wür- bigteit be» Gesuchstellers, sowie über bie Höhe ber zu gewährenden Beihilfe versehen, bem Mi- nisterium vorlegt. s wirb ausdrüdlic bemerkt, das sic nur diejenigen Gesuchsteller Anspruc auf eine Beihilfe erwerben, bie ben be- treffenden Kursus während ihrer ganzen Tauer regelmäßig unb mit Erfolg angewohnt haben. Tie Bewilligung von Beihilfen an Stragenwärter bleibt bejonderer Bestimmung vorbehalten. Tie Anmeldung ber Beamten unb ber Straßen- Wärter jur Teilnahme an ben Kurfen hat durc bie vorgesette Dienstbehörde bei bem Kursus- leiter, Tireftor Schüle zu Vendenheim bei Straß burg, zu erfolgen. Diejenigen Teilnehmer, bie auf Beihilfen feinen Anspruch erheben, tonnen ihre Anmeldung bereit bem Kursusleiter schriftlic mitteilen. Sämtliche Kurfe können nach Wahl von Angehörigen be» ganzen Sandes besucht werben, b. h. es werben in Straßburg auc Teil nehmer au» Lothringen unb au» bem Ober- Glsas zugelassen, wie bie Zulassung von Teil nehmern aus Lothringen unb bem Unter-Elias an ben Kurfen in Kolmar nichts entqeqeniteht.

Fastenzeit ; baran erinnert enbinh bie feit vielen Jahrhunderten bestehende Volfssitte ber Früh- iahrsfuren. Slan hatte von jeher ba» gan richtige Empfinden, baß ba» ungefunde Winterleben mit ber geringen Zus fuhr frifcher Suft, ber überreichliche Genut von Speife unb Trant bei ben Festen unb Ber- gnügungen, ber Mangel an körperlicher Bewe gung eine ungünstige Blutmischung herbeiführen muß, unb baß somit bie schädlichen Schlacken unb giftigen Stoffwechselprodufte ber „Säfte" ungenügend aufgelöst unb ausgeschieden werben, baß überhaupt ber Körper in einen stubensechen, kränklichen Zustand versegt wirb. Ter nieder- bayerische Bauer j. 9. frottiert ba» ganze Jahr feinen Magen mit Knöbel, Schweinernem unb Sauerkraut, aber während feiner „Frübjahrstur" genießt er längere Zeit nur „saure Stahmjuppe jum Durchichwoaben" (Durchipülen) be» Nagens. 5» ift eine in ber ärgtlichen Pragis immer wieber beobachtete Tatsache, baß jeber längere größere Wechsel in ber Grnabrung eine Umwalzung im Ablauf ber Körperfunktionen bewirft, wodurc im Entstehen begriffene Kranfheits zustande auf» gün- ftigste beeinflust werben. TaS müffen wir un» in jegiger Jahreszeit au nuge machen. Auf un- ferm Frühjahrsipeisezettel fallen nur wenig Fleif c gericte flehen, dagegen regelmäßig frifce Salate unb Kreffe, Rapungel nfw., io wie Semif t. Befonders au emp fehlen sind in jegiger Jahreszeit Sier, weic ober hart oder zu den verschiedensten Speifen ver- wendet, ferner Milch- unb Mehlspeisen, fowie Reis. Tie billigen Orangen ersegen jegt bt» teure Cbft vorzüglich. Set eine solche Diätfur, mit möglichster aber ganger Einchräntung von Biertrinken und Sau- chen, verbunben mit täglicher tüchtiger Bewegung eine Zeitlang durchführt, wirb ben ausgegeichneten @riolg seht halb spären. Ta» schlappe, unbehagliche Gefübl schwindet; ber Kör- per wirb leicht und elaftisc, bie Spannkraft ge- stählt, ber Sebensmut frisc belebt, bie Sinne werben klarer, Geist und Semit gehoben. Mit neuer Gesundheitsfreudigkeit geht es dann wieder hinein in ben Kampf nm» Talent! — 3m Gegensat jb Rönig Gbuarb ms Gaglanb, bet in seiner Bringengeit ein faß unumscranfter Herrscer ber Herreatracht gewesen anb befien Del- spiel fur bte vernehme Hercenmobe bi gone Curepa ben Zas angab, hat feine Gemahlin, bie Röntgin Hlegenbee, miemals barouf Anforud erhoben. ats

Ter Besuc ber anerkennt sehr lehrreichen Unterrichtsturse fann im Interesse ber Hebung unb Förderung te» Obstbaues unfere« Sandes nur bestens empfohlen werben. Dringend er- wünscht ift, baß bie Kurfe namentlich au» ben Kreisen ber jüngeren Sandwirte, insbesondere au« ber großen Bahl ber ehemaligen Schüler ber landwirtschaftlichen Winterschulen, mehr wie bisher besucht werben." 21 mars 1908 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k30111579/f1.item.r=%22winterschule%22vendenheim.zoom

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"Amtliche Mitteilungen. Bekanntmachung, betreffend Asheltnus von Obstbantursen im Jahre 1907. Zur Ausbildung Don Sandwirten, Gärtnern, Gemeinde- Obstbaumwärtern, Felehütern (Bannarten), Stragenwärtern u. f. w., sowie ferner bon Beamten ber Wege , Wasser- und MReliorationsbauverwaltung, bon Forsbeamten und sonstigen Freunden des Obstbanes in bet Aufauch: und Pflege bet Obit- bäume werden unter Leitung bes Direktors Schüle folgende Kurse abgehalten: A. Haupt Dbftbaukarsus. Zur Ausbildung bon jüngeren Landwirten unb Gärtnern, ferner bon Stragenwärtern, Gemeinde-Obstbaumwärtern unb Feldhütern (Bannwarten) M. f w. 1. Fünfwöchiger Hauptobstbaufursus zu Colmar im Lofal ber Kaiserlichen landwirtschaftlichen Winterjchule (Katharinenschul- gebäube), Rufacherftragze: a) 1. Teil. Von Donnerstag, 14. März, vormittags 91/2 Uhr, bis Mittwoch, 27. März, nachmittags 5 Uhr; b) II. Teil (als Fortictzung), non Freitag, 16. August, vor- mittags 91/2 Uhr, bis Donnerstag, 29. August, nachmittags 5 Uhr; c) III. Teil (als Schlusz), Don Montag, 21. Oftober, vor- mittags 91/2 Uhr, bis Samstag, 26. Ditober, nachmittags 5 Uhr. II . Fünfwöchiger Hauptobstbaufursus zu Straßburg im Ver- einsgarten beS Gartenbauvereins für bas Unter-Eljas in ber Orangerie: a) I. Teil. Von Montag, 22. April, bormittags S‘/2 Uhr, bis Samstag, 4. Mai, nechmittags 5 Uhr; b) II. Teil (als Fortictung) bon Donnerstag, 25. Juli vormittags 91/2 Uhr, bis Samstag, 7. August, nachmittags 5 Uhr;

3) Die Zunderflasche. Sfizze von Else Krafft (Nacdrud verboten.) Eines Nachmittags war bie junge grau zum Kaffee bei einer Jugendgespielin eingeladen. Hans sasz allein zu Haus unb schrieb in feinem Arbeits- zimmer, als Bejuc zu ihm fam. Gin Freund, ein Junggeselle, überraschte ihn auf ber Durch- reife, um ein kurzes Stündchen alte Erinnerungen mit ihm aufzufrischen. Es mar ein fideler Geselle, ber lebhaft be- bauerte, grau Mieze nicht auc daheim anzu- treffen. Nac ben ersten Begrüzzungsworten lief Hans in bie Küche unb suchte nac Sier. Es mar nichts da. In ber Speisekammer auc nicht. Gr durch- stöberte alle Ecken unb Winkel, in bie ionst nur Miezes ober ber Aufwärterin Blicke hineingucken dursten, unb fanb nichts. Das regte ihn auf. Man mußte doc das furze Wiedersehen mit bem Freunde bei einem Glase feiern, das mar doc nicht mehr als anständig! Von ber Küche lief er ins Wohnzimmer, ris bie Büfettüren auf unb suchte weiter. Und nun strahlte er über das ganze Gesicht. Da stand ja

c) III. Teil (als Schluß) bon 'Diontag, 14. Oftober, DOr- mittags 9‘/2 Uhr, bis Samstag, 19. Oktober, nachmittags 5 Ihr; B. Neben-Obsbaufursus. Zur Ausbildung von Wege-, Wasser- unb Neliorations. bau unb Forstbeamten, älteren Sandwirten unb Gärtnern, sowie sonstigen Freunden beS Obstbaues. 1. Zweiwöchiger Neben-Obftaufursus in Colmar, im Lokal ber Kaiserlichen landwirtschaftlichen Winterschule (Katharinen- schulgebäude), Rufacherstragze: a) 1. ©eil. Von Donnerstag, 21. März, bormittags 81/2 Uhr, bis Samstag, 23. Märs, nachmittags 5 Uhr: b) II. Teil (als Forticsung), bon 'Diontag, 19. August, vor- mittags 8‘/2 Uhr, bis Samstag, 24. August, nachmittags 5 Uhr; c) III. Teil (als Schlus), von Donnerstag, 24. Ditober, bo:mittagS 8‘/2 Uhr, bis Samstag, 26. Oktober, nach- mittags 5 Ihr. II. Zweiwöchiger Reben-Obftbaufursus 3« Strasburg im Bereinsgarten bes Gartendauvereis für bas Unter-Elsaß in ber Orangerie. a) 1. Teil. Ven Donnerstag, 2. Mai, vormittags 81/2 Uhr, bis Samstag, 4. Mai, nachmittags 5 Uhr: b) II. Teil (als Fortsetzung), bon Montag, 29. Juli, bot«  mittags 81/2 Uhr, bis Samstag, 3 August, nachmittags 5 Uhr ; c) III. Zeit (als Schlus), bon Donnerstag, 17 Oftober, bormittags 81/2 Uhr, bis Samstag, 19. Ottober, nachm. 5 Uht. Wegen ber Abhaltung ber Surfe für ben Bezirf Lothringen wird durc ben Bezirkepräsenten zu Mes Bestimmung ge- troffen. Jeder Teilnehmer an dem Hauptobstbaukursus hat folgende Geräte mitzubringen: 1. Einen Spaten (Stechschaufel), 2. eine schmale Qait, 3. eine Sandschaufel, 4. eine Baumsäge, 5. einen Rindentratzer (Baumscharre), 6. eine schmale Rindenbürste aus Mesfingbraht, 7. einen Wundenreiniger, 8. eine Baumscheere, 9. ein Garten- ober Baummesser, 10. ein Pfropfmesser, 11. ein Okuliermesser, 12. ein Abziehsteinchen. Bei ben Teilnehmern an dem zweiwöchigen Rebenkurjus genügt es, wenn sie ein ©arten» ober Baummenser, ein Okulier- messer unb ein Abziehsteinchen besitzen. Auf vorheriges An- suchen ift Direftor Schüle bereit, biefe Geräte gegen Barzahlung au beschaffen. Für Soft unb Wohnung haben bie Teilnehmer selbst 31 forgen. — Der Un erricht wird unentgeltlic erteilt. Würdigen unb minderbemittelten Berfonen, insbesondere solchen, bie ben Hauptobstbaufursus wiederholt besuchen, tonnen Beihilfen zur ganzen ober teilweisen Bestreitung ber ihnen durc bie Teil- nähme an dem Kursus erwachsenden Unkosten bewilligt werben. Gejuche ber Gemeinde-Obsbaumwärter, Feldhüter unb anderen Teilnehmern um Bewilligung Don Beihilfen finb an ben 3u- ftänbigen Kreisdireftor ober Polizeipräsidenten au richten, welcher dieselben mit feinem Gutachten über Bedürftigkeit unb Würdigkeit des Gejuchsteliers, sowie über bie Höhe ber zu ge» währenden Beihilfe versehen, bem iinisterium oorlegt. Es

Onkel Valentins Zauberslasche! War sicher ein guter Tropfen, ben ber alte Kauz in feinem Gist- schrante so sorgsam aufbewahrt hatte. Der Wit- bold! ©eine kleine, süze, bumme Mieze also an- zuführen! Das sah bet Verschrobenheit des alten Onkels aus Schöneberg jo recht ähnlich. Lachend, im rechten Arm bie Rotweinslasche, in ber linken zwei Gläier, kehrte Hans zu bem greunbe zurück. „War ater wirtlich nicht nötig, mein Junge," mehrte bet ab, „für bie kurze Zeit noc ’ner Pulle ben Hals zu brechen!" Hans hatte aber schon mit Begeisterung ben Pfropfen gezogen, schnüffelte, kostete unb lachte noc mehr. „Ten trinke ruhig, Bruderherz! $‘is was Ertrafeines!" Also tranken sie. Beim ersten Glase mürben bie alten Erinn!t- ungen aufgefrifijt, beim zweiten fam bie Gegen- roart an bie Reihe, mithin auch junger Ehe Glüd unb junger Ehe ©orgen. Tann, als bie Flasche jur Neige ging, gab Hans auch ihren Uriprung zum heften. Gr erzählte, schilderte unb steckte ben Freund mit feinem Uebermut an. „Also fo abergläubisch ift deine Heine grau?

105. —abrgang. | 1907 Wirb ausdrüdlic bemerft, das sic nur diejenigen Gesuchsteller Anspruc auf eine Beihilfe erwerben, die den betreffenden Surfen während ihrer ganzen Dauer regelmäßig unb mit Erfolg an» gewohnt haben. ©ie Bewilligung Don Beihilfen an Stragzen- Wärter bleibt befonberer Bestimmung vorbehalten. Die Anmeldung ber Beamten unb ber Straszenwärter jur Teilnahme an ben Surfen hat durc bie vorgesetzte Dienftbe- hörde bei bem Kursusleiter, ©irettor Schüle au Vendenheim bei Straßburg, zu erfolgen. Diejeuigen Teilnehmer, bie auf Beihilfen (einen Anspruc erheben, tonnen ihre Anmeldung bi» reit bem Kurfusleiter schristlic mitteilen. Sämtliche Surfe können nach Wahl »on Angehörigen beS ganzen Sandes besucht werben, b. h. es werben in Straßburg auc Teilnehmer Don Sothringen unb aus bem Ober Elsaß jugelaffen, Wie bet Zu- laffung Don Teilnehmern aus Lothringen unb bem Unter-Elsas an ben Surfen in Golmar nichts entgegensteht. 3m Hinweis auf ben anerkannten Wert bet Surfe fann ein möglics zahlreicher Besuc berfelben im Interesse ber Hebung unb Förderung beS Obstbaues unfereS Sanbes nur als bringenb erwünscht bezeichnet werben. Straßburg, ben 23. Februar 1907. Ministerium für Glsas Bothringen, , Abteilung für Sandwirtschajt unb öffentliche Arbeiten. Der Unterftaatsfetretär: Zorn von Bulach." février 1907 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k30296586/f1.image.r=%22winterschule%22vendenheim?rk=107296;4

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"Bekanntmachung

betreffend Abhaltung von obstbau- SamStag, ben 6.Tluguft, mittags. । werben. Gesuche ber Gemeinde-Obstbauwärter, bis zum Eröffnungstage entgegengenommen; spätere t urfen im Jahre 1904. i 4. Zweiwöchiger Neben-Obstbauturjus ' Feldhüter unb anderen Teilnehmern um Bewilligung Anmeldungen tönnen nicht mehr beräcjictigt werben. Zur Ausbildung von Landwirten, ©ärtnern, zu Colmar jur Ausbildung von Wege-, Wajser- von Beihilfen sind an ben zuständigen Kreis "el e, en * Ue "udrgr Büraermeißer Gemeindeobstbaumwärtern, Feldhütern, Strafeen: unb WliorationSbaubeamtcn, älteren Vanbwirten ober Polizeidireftor zu richten, welcher dieselben a. ghuman Wärtern u.f.w., sowie ferner von Beamten ber und Gärinern, sowie sonstigen freunben beS Obit- . mit feinem Gutachten über Bedürftigkeit, Würdig- Weges, Wasser- und Meliorationsbauverwaltung, baueS im Lehrsaal ber Kaiserlichen landwirtschaft- feit unb Höhe ber Beihilfen verjehen, dem Mini- von Forstbeamten unb sonstigen Freunden beS lichen Winterschule (Katharinenjchulgebäude); i sterium vorlegt. Oie Auszahlung erfolgt je jur 1 . - - _ . Obstbaues in ber Aufzucht unb Pflege von Obst- a) von fr ei tag, ben 13. Ma i, vor Sälfte nach Schluß beS ersten unb zweiten Teiles d -m Reichskanzler Grasen Bülow, auch am Freitag ... .9a ‘ 2. - . \ - o . a । und SamStag hatte ber erlauchte Monarc tieder mittags 81/2 Uhr, btS Donnerstag beS Surjus aus eine Bejceinigung bes Leiters, längere Unterredungen mit bem leitenden Staats, ben 19. Rai, mittags; daß der Gejuchiteller an dem ÄurfuS regelmäßig manne des Reiches unb Preuszens. Am Freitag b) (als Fortsetzung) vonMontag, ben und erfolgreich teilgenommen hat. i mittags waren bie fünf Offeriere, welche nac

bäumen, werben unter Leitung beS Diret- tors Schüle folgenbe Kurse abgehalten: 1. fünfwöchiger Hauptobsbaufursus

Kritische Beleuchtung der städtischen Fortbildungsschule su Gebweiler. I. Oie Schüler zahl ber Fortbildungsschule beträgt zurzeit 172. Oen gewerblichen Fachzeichenunterricht besuchen 52 Schüler, bie bekanntlich in 5 Berufs- gruppen untergebracht sind. Oie Teilnehmerzahl am Unterricht in Gewerbekunde (Deutsch) beträgt 81, wahrend auf baS gewerbliche Rechnen 95 Schüler entfallen. Mit bem Beginn des zweiten Schuljahres ife eS möglich geworben, bie Schüler auch in Ge- Werbefunbe unb im Rechnen nach ben 2 Haupt- berufsgruppen ber Metall- unb Holzarbeiter zu trennen. Oie Gruppe ber Metallarbeiter (A) um- fast, bem zweijährigen Kursus entsprechend, eine £)ber= unb Unterklasse, während bie Holzarbeiter (B) ber zwei Jahrgänge biS auf weiteres noch in einer Klasse vereinigt sind. Im Rechnen bestehen sowohl für bie Metall- als auch für bie H0lz- arbeiter je 2 klassen. Durc biefe Gliederung ift es möglich geworben, ben Lehrplan bem beruflichen Bedürfnis ber Schüler anzupassen, fo bafe unfere Fortbildungsschule nach dieser Richtung hin mit Recht alS eine gewerbliche bezeichnet werben kann. In ben Klassen für Gewerbekunde sind derzeit ein- zelne Schüler, bie webet Holz- noch Mteallarbeiter sind. Auf biefe, sowie auf bie nicht einem bestimmten Berufe angehorenden Schüler wirb bei ber Er- richtung einer neuen Klasse Rücksicht zu nehmen fein, f» bafe auch bie allgemeine Fortbildungsschule ja ihrem Rechte kommt. ©er Schulbesuch ber gewerblichen Abteilung ift, Mu nur wenigen Ausnahmen abgesehen, ein muster- gültiger, fo bafe man für ben wirklichen Schüler- bestand ben Sculzwang entbehren könnte. Da eS aber noch manche Lehrlinge gibt, für welche eine Fortbildungsschule gar nicht zu bestehen scheint, fo »trb ber nac Fertigstellung des Neubaues in Wirksamkeit tretende Zwang Wandel schaffen müssen. Wem das Wort Zwang Bebenfen erregt, ber

zu Strafeburg jur Ausbildung von jüngeren Landwirten unb Gärtnern, Straszenwärtern, Ge- meindeobstbaumwärtern, Feldhütern u.f.w., im Ver- einsgarten des Gartenbauvereins für das Unter: Elsasz in ber Orangerie: a) von Montag, ben 14. März, vor- in i 11 a g s 91/2 U h r, bisMittwoch,den 30. März, nachmittags 5 Uhr; b) (als § o r t f e t u n n g) von Donners tag, ben 28. Juli, vormittags 91/2 U h r, bis Samstag, den 13. August, nachmittags 5 Uhr. 2. Fünfwöchiger Hauptobsbaukursus j u Colmar jur Ausbildung von jüngeren Landwirten unb Gärtnern, von Etraszenwärtern, Gemeinde-Obstbaumwärtern, Feldhütern u.f.w. im Lehrsaal ber Kaiserlichen landwirtschaftlichen Winter- schule (Katharinenschulgebäude) : a) von Montag, ben 2. Mai, vor-.

mittags 91/2 Uhr, bis OonnerStag ben 19. Mai, nachmittags 5 Uhr; b) (als S o r f c t u n g) von Monta g,’b c n 4 . Juli, vormittags 91/2 Uhr, bis Mittwoch, den20.Juli, nachmittags 5 Uhr; 3. Zweiwöchiger Reben-Obsbaukursus zu Strafeburg jur Ausbildung von Wege-, Wasser- unb Meliorationsbaubeamten, älteren Landwirten unb Gärtnern, sowie sonstigen Freunden beS Obstbaues im Vereinsgarten bes Gartenbau- Vereins für baS Unter-Elsaß in ber Orangerie: a) von Montag, ben 21. März, vor- mittags 8/2 Uhr, bis Samstag,den

für Kost unb Wohnung haben bie Teilnehmer felbft ju sorgen. Oer Unterricht wirb unentgeltlich erteilt. Würdigen unb bedürftigen 8ürgermeifteramt@eb»eiler. Teilnehmern, insbesondere solchen, Bucführungsturjus für Handwerter, die zur Wiederholung andem Haupt Oer Buchführungskursus Wirb nächsten F re i- obsbaukursus (zwei bis mehrmals) tag, b en 5. b. Mts., abends 8 Uhr, in einem teilnehmen, tönnen Beihilfen zur Saale der Fortbildungsschule (1 Treppe hoc) von i • -.,-=9-- . I nur eröffnet »erben. Oie Teilnehmer haben fleh ganzen ober teilweisen Bestreitung nur mit einer Feber zu versehen, ba Hefte unb ber ihnen burcdie Teilnahme an bem, Tinte in ber Schule bereit gehalten werben. Weitere 1. August, vormittags 81/2 Uhr, bis ’ Kursus erwachjenden Unkosten bewilligt Anmeldungen Werben auf bem Bürgermeisteramte


-= ... - ! < ~ ‘ bis zum Eröffnungstage entgegengenommen; spätere

26. März, mittags;

b) (als Forttung) von Montag, ben

möge sic Vergegenwärtigen, bafe ber jetzige Schul- besuc auc fein freiwilliger ift. Unerfahrene unb urteilslose Knaben von 14—15 Jahren, bie meist sehr froh sind, bem Zwange ber allgemeinen Schule entronnen zu fein, fommen nicht auS reinem idealen Wissensdrang nach vollendetem Tagewerk zum Abendunterricht, sondern fee werben — von ganz vereinzelten fällen abgesehen — von ihren Eltern, Pflegern ober Lehrherren zum Schulbesuch angehalten. Ob nun ber Schüler durc eine Privat- perfon ober eine Behörde jur Schule gehalten Wirb, ift an sic in Bezug auf ben Grad feiner frei: willigkeit ganj gleich. Da aber bie in bie Hande von Privatpersonen gelegte Verpflichtung nach dieser Richtung hin nicht überall gewürbigt wirb, bleibt ber gesetzliche Zwang eine unabweisbare Notwendig- teit. Wo nur immer Fortbildungschulen gegründet unb umgestaltet werben, heiszt das Losungswort: „Bf lichtschulen“. Auc bie Stabt Berlin ift unlängft hierzu übergegangen. In bet Beratung hierüber biefe eS: „Oer fakultativen Schule, wie wir fee biS jetzt in Berlin haben, stehen feine Mittel zur Betfügung, einen regelmägzigen unb pünktlichen Besuc ju erzwingen. Aber gerabe in einer plan- mäßigen Arbeit unb einer gesunden Schulzucht während bet ersten Jahre nach Vollendung ber Volksschulpflicht sehen wir einen Schüfe gegen manche Verführung, rin wesentliches Mittel jur Festigung beS Charakters. Diese Erwägungen haben uns, bie wir sonst jedem Zwange im Handel unb Wandel mit grosztem Wisztrauen gegenüberstehen, ju ber Ueberzeugung gebracht, bafe wer eine Hebung des allgemeinen Bildungsstandes, eine bessere be- rufliche Ausbildung unb Disziplinierung ber grofeen Masse wiß, sic mit bem Gedanken einer erwei- terten Schulpflicht befreunben mufe. (Eingabe ber kaufmännischen Vereinigung)." Wie jeder neuen Einrichtung Mängel anhasten, fo weife sic selbstverständlich auch unfere fort: bildungsichule hiervon nicht frei, fm Streben nach Berbolltommnuing Wirb unb mufe sie es sic jedoc

11. Juli, vormittags 8‘/gUhr, bis SamStag ben 16. Juli, mittags. Wegen ber Abhaltung ber Kurse für ben Be- jirt Lothringen wirb durc ben Bezirkspräsidenten zu Met Bestimmung getroffen. Jeder Teilnehmer an bem Hauptobstbauturjus hat folgenbe Geräte mitzubringen: 1. einen Spaten (Stechschaufel), 2. eine schmale Hacke, 3. eine Sandschaufel, 4. eine Baumsäge, 5. einen Rindenkratzer (Baumjcharre), 6. eine schmale Rindenbürste auS Messingdraht, 7. Cinen Wundenreiniger, 8. eine Baumscheere, 9. ein Garten- ober Baummesser, 10. ein Pfropfmesser, 11. ein Ofuliermesser, 12. ein Abziehsteinchen.

Sei ben Seilnehmern an bem zweiwöchigen | im Interesse ber Hebung unb Förderung beS Obt- Nebentursus genigtcs,wenn sie ein Garten- ober | baueS unseres Landes nur als dringend erwünscht Baummesser, ein Ofuliermesser unb ein Abzieh- . bezeichnet werben. 1 Strafeburg, ben 17. Januar 1904. Ministerium für Eljasz-Lothringen,

//mélange de colonnes...//

Bei ben Teilnehm

steinchen besitzen. Auf vorheriges Ansuchen ift Direktor Schüle

bereit, biefe Geräte gegen Barzahlung zu beschaffen. Abteiluugfür Landwirtschaft und öffentliche Arbeiten.

gefallen lassen, bafe man ihre Schwächen bloslegt. In elfter Linie erwähne ic hier ben Umstand, bafe auszer bem Zeichenunterricht sämtliche Kurse in bie Abendstunden Verlegt sind. Wer ba sieht, wie bie Schüler nach beS Tages Mühen unb Saften im warmen Schulzimmer nur unter Aufbietung äuszerster Willenskraft ben Schlaf fern halten können, wie andere, beren Augenlider sic zwar ben belehrenden Einwirkungen noc offen halten, doc im Seifte ber Müdigkeit erliegen, ber mufe sic sagen, bafe ber Abendunterricht auS ge- sundheitlichen unb pädagogischen Gründen ein über: wundener Standpunkt werben mufe. Ein solcher Unterricht entspricht nicht bem erwarteten Erfolg. Ote Schule wirb nimmermehr baS leisten, was fee bei bem günstigeren Tagesunterricht leisten kann unb mufe. Oer Abendunterricht ift hier noc auS zwei örtlichen Gründen ju verurteilen. In einzelnen gewerblichen Betrieben wirb bis 6 Uhr abends gearbeitet. Da ber Unterricht um 71/2 Uhr beginnt, ift selbstver- stndlic auf ein pünktliches Erscheinen ber betreffenden Schüler nicht ju zählen. So fommt eS, bafe sic ein namhafter Teil derselben erst um 8 Uhr ein: stellt, waS für ben Unterricht eine schwere Schä- digung bedeutet. Nac wiederholt genommener Rud- sprache mit ben betreffenden Meistern ift von diesen jedesmal ber Bescheid ergangen, bafe bie Lehrlinge zum rechtzeitigen Besuc beS Unterrichts vor 7 Uhr bie Wertitätte verlassen tönnten. Bon dieser Befug: nis Wirb jedoc — ich weisz nicht aus welchen Gründen — fein Gebrauc gemacht. Da baS natürliche Schlafbedürfnis bie Unterrichtserfolge beeinträchtigt, kann man einer Verlegung beS Unterrichts in bie Zeit von 8—91/2 Uhr auc nicht wohl das Wort reden, ©ie Schule mufe unbedingt an ber sichern unb grünblichen Durchführung ber Lehrpläne fest- halten. Soll ber auf 2 Jahre verteilte Lehrstof voll unb gan Geltung haben, fo ife regelmäsziger unb pünktlicher Schulbesuc Grundbedingung. Eine andere Störung erleidet ber Unterricht durc das Vereinsleben, das befanntlich mit ber

Oie Bewilligung von Beihlifen an Straßzen- Wärter bleibt befonberer Bestimmung Vorbehalten Oie Anmeldung ber Beamten unb ber Straszen- Wärter zur Teilnahme an ben Kursen hat durc bie vorgesetzte Dienstbehörde bei bem Kursusleiter, Direktor Schüle zu Vendenheim bei Strafeburg, zu erfolgen. Oiejenigen Teilnehmer, bie auf Bei- hilfen feinen Anspruc erheben, können ihre An- meldung bireft bem Kursusleiter schristlic mit- teilen. CS wirb babei ausdrücklich barauf auf- mertsam gemacht, bafe bie sämtlichen Kurse je nac Wahl von Tingehörigen beS ganzen Landes besucht werben tönnen, b. h. es werben in Strafeburg auch Teilnehmer auS Lothringen unb auS bem Ober-Elsasz zugelassen, wie ber Zulassung von Teilnehmern auS Lothringen bem Unter-Elsas an ben Kursen in Colmar nichts entgegensteht. 3m Hinweis auf ben anerkannten Wert ber Kurse kann ein möglichst zahlreicher Besuc derselben

Oer Unterstaatssekretär: Zorn v. Bulach." 4 février 1904 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3198148z/f1.image.r=%22winterschule%22vendenheim?rk=150215;2

Romjerome (discussioncontributions)
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13 mars 1902 : "— Ecole agricole d'hiver. — Les cours de l'Ecole agricole d'hiver qui viennent d'être clos ont été fréquentés par 20 élèves, dont 1 de la Robertsau, 10 de l'arrondissement de Strasbourg-campagne, 7 de l'arrondissement d'Erstein, 1 de l'arrondissement de Molsheim et 1 de l'arrondissement de Saverne.

Les examens publics des élèves auront lieu, demain, à 9 heures du matin, dans un des bâtiments de l'ancienne Académie, près de la caserne Saint-Nicolas. Les demandes d'admission aux nouveaux cours, qui commenceront le 3 novembre prochain, devront être adressées à M. Schüle, directeur de l'Ecole, à Vendenheim."

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1914 : ..den übrigen Schulen aber in einer Klafse erteilt. Auch in den Schulen mit nur einer Klasse werden Schüler, die schon einen Kursus durchgemacht haben, weiter- gebildet bezw. in dem Gelernten befestigt. Die Weih- nachtsferien beginnen am 23. Dezember nachmittags nach Beendigung des Unterrichts und endigen mit Üblauf des 4. Januar 1914. Das Schulgeld beträgt. für den ganzen Kursus 12 M. (einschließlich der Prämie für die Unfallversicherung der Schüler). Weniger Bemittelten kann dasselbe ganz oder teil- weise erlassen, auch können in besondern Fällen Sti- pendien gewährt werden. Derartige Gesuche sind dem Vorsteher zu übergeben. Aufnahmefähig sind junge Leute im Alter von etwa 15 Jahren und darüber. Anmeldungen unter Vorlage des Schulentlassungs- zeugnisses und Anfragen aller Art sind baldmöglichst an die Vorsteher zu richten, nämlich für die Schule in Altkirch: Landwirtschaftslehrer Schach in Altkirch, Colmar: Landwirtschaftsinspektor Dr. Peters in Col- mar, Mülhausen: Landwirtschaftslehrer Kölmel in Mülhausen, Erstein: Landwirtschaftslehrer Müller in Erstein, Schlettstadt: Landwirtschaftsinspektor. Schend im Schfettstadt, Strafburg: Direttor Schüle, Oberlehrer in Vendenheim. Für solche auswärtige Schüler, welche zum Schulbesuch täglich die Eisenbahn benüßen wollen, können Schülerkarten nachgesucht werden. Auch sind die Vorsteher auf Verlangen berei- billige Wohnung und Kost zu vermitteln. Allen Land- wirten, welche ihren Söhnen eine gediegene und im landwirtschaftlichen Berufe verwendbare Bildung zu teil werden lassen wollen, können die landwirtschaft- lichen Winterschulen aufs beste empfohlen werden. Es sei aber ausdrücklich darauf hingewiesen, daß die Vorteile der Winterschulen erst dann voll ausgenutzt werden, wenn der Schüler die Schule an zwei Win- tern nacheinander besucht.

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mais donne aux autres écoles dans un clase. De même dans les écoles qui n'ont qu'une seule classe d'élèves, qui ont déjà suivi un cours, continuer formé en cours d'attache dans l'enseignement. Les fêtes de fin d'année Les vacances de nuit commencent à 23 heures. Décembre après-midi après l'achèvement des cours et se termine par pratique continue du 4ème Janvier 1914. L'alimentation scolaire est le cas. pour l'ensemble du parcours de 12 m. (y compris Prime pour l'assurance accident des étudiants). Moins de sources peuvent faire la même chose tout ou partie en particulier, la stimulation subventions. Ces demandes sont les en-tête. Les jeunes sont capables de prendre Personnes âgées d'environ 15 ans et plus. Inscriptions par présentation du bureau de l'école les témoignages et toutes les demandes de renseignements sont le plus rapidement possible à la tête, c'est-à-dire pour l'école à Altkirch: Enseignant de la ferme Schach à Altkirch, Colmar: Inspecteur agricole Dr. Peters dans le Col- mar, Mulhouse: professeur d'agriculture Mulhouse, Erstein: Enseignant agricole à Erstein, Schlettstadt: inspecteur agricole. Schend im Schfettstadt, Strasbourg: Direttor Schole, Enseignant principal à Vendenheim. Pour ces étrangers Élèves qui vont à l'école tous les jours dans les chemins de fer Vouloir adoucir, les cartes d'étudiant peuvent être recherchées être. En outre, le responsable de la demande est trouvé sur demande. appartement bon marché et nourriture à transporter. L'ensemble du pays pour voir ceux qui noblerent leurs fils, et dans le les métiers agricoles de l'enseignement utilisable veulent être séparés, l'agriculture la plupart des écoles d'hiver sont recommandées pour le mieux. Il Il convient toutefois de souligner expressément que Avantages des écoles d'hiver uniquement alors pleinement exploitées quand l'élève sera l'école à deux gains- sterne a visité l'un après l'autre.

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Migration de commentaires du 6 rue de la Gare

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Il y a une certaine ressemblance avec le 7 rue des Glacières à Strasbourg. D'ailleurs, dans l'un des commentaires de cette notice, on remarque d'autres points communs !

"Pour aller plus loin : Jean-Robert-Mathias Schmitten Né le 3 novembre 1828 - Korschenbroich, Rheinland, , Preussen, , Décédé le 18 mai 1884 - Strasbourg, à l'âge de 55 ans Directeur, Fabrique d'orges germées Robert Schmitten Membre de la Chambre de commerce, ancien juge au tribunal de commerce, administrateur du Crédit foncier d'Alsace-Lorraine, de la Banque d'Alsace et de Lorraine, membre du Conseil d'administration des hospices civils. son fils est né au n°7 rue des Glacières : Albert Schmitten Né le 9 décembre 1864 - Strasbourg, 7 rue des glacières Décédé le 8 février 1935 - Paris, 57 boulevard Montmorency, à l'âge de 70 ans Négociant en houblon " source : geneanet - Matthieu Hoepffner (mhoepffner) --

"1879 : Schmitten Robert, kaufmann, Mälzereibesitzer und Hopfenhandlung, Mitglied der Handelskammer und der verein. Civilhospicien, a. d. Eisgruben 7" --

"En 1899, il n'y a pas de 7bis, le n°7 est la propriété de Schmitten (fabrique de malt Gebr. Hatt, Schröder & Schmitten (hopfenhandlung)" --

"Fin 1910 : 7bis | fabrique de malt Gebr. Hatt (idem au n°9, 12, 14)"

etc.

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Coup de chance... 843 W 223 - Ecole auxiliaire, 7 rue des Glacières, aménagement de deux logements : plans. - 1907/1923 : "Projekt zur Unterbringung der Landwirtschaftlichen Winterschule mit Dienstwohnung für Herr Direktor Schüle" (janvier 1907) => https://arch...0/daogrp/0/1 [archiv

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Si le "Direktor" Schüle était sur Vendenheim en 1902, où vivait-il ? Une de ses filles s'est mariée en 1899 à Vendenheim : 29/05/1899 registre EC - LADENDORF Johann Gustav né à Hambourg (D), fils de LADENDORF Heinrich Adolf et de WOLFF Martha Kunigunda Wilhelmina ; et SCHULE Eva Flora née à Karlsruhe (Bade) (D) fille de SCHULE Johann Friedrich Wilhelm et de FREYMULLER Wilhelmina."

Romjerome (discussioncontributions)
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Une transcription expérimentale d'un article de presse : "o Vendenheim, 29. Juni 1916. Den zahlreichen Schülern des Direktors Wilhelm Schüle in Vendenheim dürfte die Mitteilung willkommen sein, daß dieser am 1. Juli b. 3. auf eine 50 jährige Beamtentätigteit zurücklichen kam. Am 1. Juli 1866 würde ihm, der gerade feine Studien an der land-unb forstwirtschaftlichen Akademie Hohenheim, seinem Geburtsort, beendigte, die Stelle eines Affiften feines Vaters, R. Garteninspektors und Vorstands der K. Gartenbauschule am genannten Institut (der jetzigen landwirtschaftlichen Hochschule) übertragen. Drei Jahre später übernahm Schüle die Obst-unb Gartenbaulehrerstelle an der damaligen landwirtschaftlichen Gartenbauschule (späteren Obstbauschule) und Landwirtschastlichen Winterschule zu Karlsruhe. Während des Winters 1873/74 hatte er die landwirtschaftliche Kreiswinterschule zu Eppingen zu verwesen, wobei er dort einen Gartenbauverein gründete. 1879 folgte Schüle der Berufung zum Direktor der Kaiserlichen Obst-unb Gartenbauschule Grafenbürg zu Brumath, mit welchem Institut 1890 die landwirtschaftliche Winterschule vereinigt würbe. Nach deren Verlegung nach Straßburg infolge der Aufgebung der Obstbauschule, führte Schüle die Vorstandschaft an dieser Anstalt — bis jeßt während 24 Wintern — weiter unb übernahm gleichzeitig die Leitung des Unterrichts im Obstbau, womit die Abhaltung von Haupt-unb Neben-Obstbaukursen in Straßburg unb Colmar verfnüpft ist. Schüle ist Ehrenpräsident, korrespondierendes und Ehrenmitglied einer größeren Zahl von Vereinen und des Gartenbauvereins für das Grossherzogtum Baben, dessen langjähriges Vorstandsmitglied und (von 1875 bis 1879) zweiter Präsident er war. Eine Lebensbeschreibung Schüles ist anlässlich feines 50 jährigen Gärtnerjubiläums in Nr. 13 von Möllers Deutscher Gärtnerzeitung erschienen. Auf den 10. August b. z. fällt Schüles 70. Geburtstag."

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Il manque encore quelques sources solides, néanmoins tout ceci rejoint un cercle de décideurs locaux de l'époque (Ferdinand Freudenfeld, Paul Muller Simonis, M. Poehlmann/Pöhlmann, etc.). Certaines "Winterschulen" sont localisées (rue de Sarrebourg et rue Saint-Guillaume à Strasbourg), avec des dortoirs au 2 rue Finkwiller et un projet au 7 rue des Glacières. Cela correspond également à la "planification urbaine" de ces quartiers à l'époque (1910). Il manque peut être les localisations d'une "école" dans le secteur Schiltigheim/Robertsau (Nord-Est) et une vers Koenigshoffen/Montagne-Verte (Ouest). Ainsi que plus au Sud (Erstein, Fegersheim, etc.) et à Vendenheim pour l'arrondissement de Strasbourg-campagne. "Début 1895, l’administration allemande du Reichsland Alsace-Lorraine propose à la Ville de Strasbourg de promouvoir son école technique d’hiver en école professionnelle des métiers du bâtiment et des travaux publics, à condition qu’elle mette à sa disposition des locaux adéquats. La petite école d’hiver, la Technische Winterschule für Wiesenbautechniker, destinée initialement aux fils d’agriculteurs, avait connu un succès fulgurant après sa restructuration en 1887 pour former des techniciens au service de l’administration et des entrepreneurs-architectes, en charge notamment des constructions du plan d’extension. Décuplant ses effectifs en moins d’une décennie, elle dépasse les 300 élèves en 1895, l’année où elle devient la Kaiserliche Technische Schule (École impériale technique)". [..] le programme de l’école comporte, depuis la restructuration de 1887, deux heures de gymnastique hebdomadaires."

Romjerome (discussioncontributions)
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Si besoin, voici une photo et sa biographie [archive]. Il est probable que les habitants du secteur n'ont jamais su qu'il y avait une "Obstbau" (et Obstschule) sur Vendenheim.

Romjerome (discussioncontributions)
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Pour l'ouest de Strasbourg, j'irai plutôt vers une "école d'hiver" du côté de (1906 : Union Agricole de l'Est au n°23-25 rue de Wasselonne ; 1905 : rue de Molsheim ;1946 : Coopérative de stockage du blé ; etc.) et de la Laiterie Centrale. Au sud, peut être entre le Neuhof et le Neudorf (Polygone, Grossau/Ziegelau/rue de St-Marie-aux-Mines ?) ou le secteur de la plaine des Bouchers (rue de la Fédération/route de Colmar/Extenwoerth ) : un secteur proche de la Manufacture des Tabacs de Neudorf et d'une gare !

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Un bureau de poste (et une gendarmerie) étai(en)t référencé(s) à Vendenheim en 1942/1943. Source : Annuaire de l'industrie et du commerce, année 1943 - page 157

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P.B : "Beaucoup plus de gendarmeries qu'aujourd'hui, régime policier oblige..."

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"Dans la vallée de la Bruche, il organise avec ses anciennes connaissances et ses camarades cheminots, des filières de passage vers la France. Au printemps de 1942, commence la grande rafle des communistes. Keim est arrêté fin avril, Erb le 2 mai. Revenu au début juillet, Wodli organise une réunion à Vendenheim afin de tenter de renouer les fils. Mattern prend la responsabilité de la région tandis que se poursuivent les arrestations de militants. Wodli repart pour Paris le 31 juillet 1942" La résistance des cheminots en zone annexée - Joël Forthoffer https://book...g/irhis/2147

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Zentral- und Bezirks-Amtsblatt für Elsass-Lothringen 1897 [archive] : "dem Fußgendarmen Eichelkraut in Vendenheim aus Anlaß seines Hebertritts in den Ruhestand das Allgemeine Ehrenzeichen in Gold zu verleihen" ...

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"17/04/1897 registre EC (mariages à Vendenheim) -VOIGT Heinrich Gustav né à Dresde (Saxe) (D) fils de VOIGT Gustav Heinrich et de KAMPFE Amalia Augusta de Rexingen (67) x -EICHELKRAUT Minna Helena née à Lingolsheim (67) fille de EICHELKRAUT Friedrich August et de FINK Minna Sidonia +

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1898 (p. 380) : "aus Anlaß des Uebertritts in den Ruhestand dem Fußgendarmen Seidel (Seibel ?) zu Vendenheim das Allgemeine Ehrenzeichen in Gold" etc.

Poste route de Brumath, 1743-1753 -> 1860 ?

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Un ancien "point" postal aurait été route de Brumath/Route de Strasbourg (entre le 7 et le 14 route de Brumath).

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vers 1820

Ci-joint une gravure (auteur 'Brion' ou 'Schweitzer' ) représentant "la poste royale" (vers 1820 ?),

aux environs de Vendenheim, ainsi que deux extraits de planches cadastrales.

sections B./G. et C.

Le bâtiment sur la parcelle B583 (ou B 590) corresponderait à cet environnement et offrirait une perpective assez proche, sur le clocher du temple, l'alignement des arbres, le carrefour, etc.

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Müller Jean, proposé à la poste aux lettres (30->40 ans)

  • 122 bis route impériale en 1856
  • 127 route impériale en 1861
  • 127 Stattweg/Stadtweg en 1866
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Si le télégraphe électrique est apparu en 1852 [archive], en lien avec la ligne de chemin de fer Paris->Strasbourg [archive], on a effectivement une bonne piste. Les fonctionnaires français du télégraphe sont présents dans les recensements. Par ailleurs, Vendenheim fut, en 1743/1753 (source : les archives numériques bavaroises), sur le "trajet des postes" ! Un transfert vers le quartier de la gare rend cette localisation hasardeuse vers 1850/1860.

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Directeur Schüle

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M. Schüle était Oberlehrer jusqu'en 1914 (cf. "presse 'Direktor Schule + Vendenheim"). Selon certains articles, il aurait pu transiter par Brumath (vers 1894), avant de s'installer à Vendenheim. Des "Winterkursus" réguliers sur cette commune, peuvent-ils expliquer le "Bebauungsplan" au Sud, sur la carte de 1913/1914 ?

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Si le "Direktor" Schüle était sur Vendenheim en 1902, où vivait-il ? Une de ses filles s'est mariée en 1899 à Vendenheim : 29/05/1899 registre EC - LADENDORF Johann Gustav né à Hambourg (D), fils de LADENDORF Heinrich Adolf et de WOLFF Martha Kunigunda Wilhelmina ; et SCHULE Eva Flora née à Karlsruhe (Bade) (D) fille de SCHULE Johann Friedrich Wilhelm et de FREYMULLER Wilhelmina."

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13 mars 1902 : "— Ecole agricole d'hiver. — Les cours de l'Ecole agricole d'hiver qui viennent d'être clos ont été fréquentés par 20 élèves, dont 1 de la Robertsau, 10 de l'arrondissement de Strasbourg-campagne, 7 de l'arrondissement d'Erstein, 1 de l'arrondissement de Molsheim et 1 de l'arrondissement de Saverne.

Les examens publics des élèves auront lieu, demain, à 9 heures du matin, dans un des bâtiments de l'ancienne Académie, près de la caserne Saint-Nicolas. Les demandes d'admission aux nouveaux cours, qui commenceront le 3 novembre prochain, devront être adressées à M. Schüle, directeur de l'Ecole, à Vendenheim."

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Archives de la ville de Strasbourg 843 W 223 - Ecole auxiliaire, 7 rue des Glacières, aménagement de deux logements : plans. - 1907/1923 : "Projekt zur Unterbringung der Landwirtschaftlichen Winterschule mit Dienstwohnung für Herr Direktor Schüle" (janvier 1907) => https://arch...0/daogrp/0/1

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Société Nationale d'Agriculture de France - Journal d'agriculture pratique, de jardinage et d'économie domestique - M. Grandeau présente également une brochure de M. Henry sur les Ecoles d'Agriculture d'hiver. M. Henry a vivement insisté sur les services que ces sortes d'Ecoles peuvent rendre dans nos régions agricoles. Du reste en Allemagne les Winterschule, écoles d'hiver, sont très appréciées par les agriculteurs, qui y envoient leurs fils pendant les mois de morte-saison de cette époque de l'année. En France M. Paul Genay en a pris l'initiative avec plein succès l'an dernier. Grâce à M. Henry on en établira de semblables à Langres l'hiver prochain. - 11 juin 1902 - https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96468853/f815.image

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22 mars 1876, Strasbourg - "— Vous savez déjà que jeudi dernier ont eu lieu pour la première fois en public les examens des élèves de l’école pratique d’hiver (Technische Winterschule) espèce de cours annexé à l'Ecole industrielle ou Realschule municipale de Strasbourg. Cette école pratique a pour but spécial de former des agronomes et n'existe que depuis un an. Elle est présidée par M. le Dr Ludwig, directeur de la Realschule. Les examens ont eu lieu dans le local de cette dernière, à l’Hôtel-de-Ville et le résultat en a été très satisfaisant. L’Ecole d'agronomie a jusqu’ici deux classes, et trente-quatre élèves. Six de ceux-ci ne parlent et ne comprennent que le français, ce qui complique la difficulté de l'enseignement qui ne se fait qu’en allemand, chose regrettable. Parmi ces élèves, les uns paient eux-mêmes leurs frais d’études, deux autres sont subventionnés par les Comices agricoles de Colmar et de Sarrebourg, (un bon exemple à imiter, d'autres par des communes comme Schlestadt et Muttersholtz). Les épreuves de l'examen ont porté sur l’allemand, la géométrie, l’arithmétique, la physique, la chimie et des notions d’agronomie. Les jeunes gens ont en général répondu avec intelligence, et les personnes invitées ont été très satisfaites de ces prémisses d'une institution qui pourra porter des fruits utiles au pays et sur laquelle M. le président Ludwig, d'après le discours qu'il a prononcé à la fin de la séance, fonde les plus belles espérances.". journal l'Industriel Alsacien - 24 mars 1876 - https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3127163d/f1.item

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Localisation source

  1. Annuaire de 1888 - page 314 (version numérique) - https://archives.strasbourg.eu/ark:/39332/vta5376302f23195b0a
  2. Annuaire de 1890 - page 349 (version numérique) - https://archives.strasbourg.eu/ark:/39332/vta957f478190ddac2b
  3. Technische Winterschule - année de 5 mois (de novembre à mars ; 8h-12h et 13h-18h) "Unterrichträume in der städtischen Kunstschule, Wilhelmergasse 13. Schlafräume : Finkweilerstrasse 2." - Annuaires de la ville de Strasbourg - cote 1BA 1892 page 362 (version numérique) - https://archives.strasbourg.eu/ark:/39332/vta4d5bd386a8e8602b
  4. ...St Wilhelmerstrasse 13 |Technische Winterschule.|... - Annuaires de la ville de Strasbourg - cote 1BA 1892 page 309 (version numérique) - https://archives.strasbourg.eu/ark:/39332/vta4d5bd386a8e8602b
  5. ...St Wilhelmerstrasse 13 |Technische Winterschule.|... - Annuaires de la ville de Strasbourg - cote 1BA 1895 page 310 (version numérique) -https://archives.strasbourg.eu/ark:/39332/vtab2e1c30d47d570bb
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"Début 1895, l’administration allemande du Reichsland Alsace-Lorraine propose à la Ville de Strasbourg de promouvoir son école technique d’hiver en école professionnelle des métiers du bâtiment et des travaux publics, à condition qu’elle mette à sa disposition des locaux adéquats. La petite école d’hiver, la Technische Winterschule für Wiesenbautechniker, destinée initialement aux fils d’agriculteurs, avait connu un succès fulgurant après sa restructuration en 1887 pour former des techniciens au service de l’administration et des entrepreneurs-architectes, en charge notamment des constructions du plan d’extension. Décuplant ses effectifs en moins d’une décennie, elle dépasse les 300 élèves en 1895, l’année où elle devient la Kaiserliche Technische Schule (École impériale technique)". [..] le programme de l’école comporte, depuis la restructuration de 1887, deux heures de gymnastique hebdomadaires.

  • 1905 Akademiestrasse 2 - Kaiserlische Landwirtschaftliche Winterschule, annuaire de 1906 page 474
  1. Rapports du ministère d’Alsace-Lorraine, Archives nationales (AN) F/17/14436 http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/fonds/edi/sm/F/EDIF17.html
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voir => Das Reichsland Elsass-Lothringen, Landes-und Ortsbeschreibung. 2. Teil : statistische Angaben. - 1901,

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Schühle, Wilhelm

Archivaliensignatur : Landesarchiv Baden-Württemberg, Abt. Generallandesarchiv Karlsruhe, 465 k Nr. 1458 Alt-/Vorsignatur : 465a/53/13/3576 Landesarchiv Baden-Württemberg, Abt. Generallandesarchiv Karlsruhe, 465 k Spruchkammer Bretten Wohnort : Bretten Geburtsdatum : 21. Juli 1887 Geburtsort : Durlach

https://www.deutsche-digitale-bibliothek.de/item/IR2HLYRRERFBFVBHQPODTQUXDTW55FE7 https://www2.landesarchiv-bw.de/ofs21/olf/struktur.php?bestand=51093&sprungId=7644440&letztesLimit=suchen#marke

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Villa Kopp et le "baron" en 1870

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Un Précurseur du « Capitaine » " L’aventure héroï-comique du pseudo capitaine de Kœpenik a eu, au village de Vendenheim, un précédent des plus curieux et des plus authentiques.

Le lendemain du jour où les troupes allemandes d’invasion quittèrent Vendenheim (août 1870), arriva au village un gentleman porteur de la croix de Saint-Jean et qui se présenta sous le nom de baron de Grégory. Il avait une escorte de trois domestiques et d’un dragon badois.

Le baron de Grégory annonça au maire qu’il venait pour opérer la répartition des secours aux victimes de la guerre. Le baron élut domicile à la villa Kopp, dont les propriétaires étaient en France. Il réquisitionna de la nourriture avec des bons établis à la mairie sur son ordre et, de plus, obtint du maire plusieurs ouvriers qui devaient opérer le triage des objets de secours envoyés de Berlin.

Un jour que les ouvriers manquaient à leur travail, le baron de Grégory envoya son dragon d’escorte à la mairie et menaça le village d’une exécution militaire. Pendant plusieurs semaines, ce personnage vécut ainsi à Vendenheim, terrorisant la population. Il disparut subitement au moment où tomba Strasbourg et où la loi martiale fut abrogée dans les campagnes avoisinantes.

Plus tard, la commune de Vendenheim réclama le remboursement des frais causés par le baron de Grégory. On trouva alors que ce personnage était complètement inconnu des sociétés dont il se prétendait le mandataire. La commune de Vendenheim est, aujourd'hui encore, créancière du fameux baron." https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8321547b/f1.item.r=vendenheim

Romjerome (discussioncontributions)

Style du bâtiment

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Romjerome (discussioncontributions)

C'est vrai que cela m'avait échappé, le style de ce bâtiment ne correspond pas vraiment à ses "voisins". Par exemple, sur cette photo de l'Eurométropole : https://www.strasbourg.eu/documents/976405/1590438/communes_Vendenheim.jpg le secteur de la gare est au niveau du TER (pas du TGV). Il y a le "KVO" qui fait mur anti-bruit, puis derrière on voit, un long bâtiment presque isolé : le n°6 rue de la gare. Il y a bien quelques "chien-assis" sur des maisons des années 30, mais là c'est tout le bâtiment : un style plus "strasbourgeois" ?

P. B. (discussioncontributions)

Je ne vois rien sur la photo.

Romjerome (discussioncontributions)

Ah oui, il faut "zoomer". De toute façon il s'agit d'une vue globale, uniquement pour comparaison. Il n'y pas de détails. La toiture du 6 rue de la gare est pratiquement la seule avec plusieurs "chiens-assis".

P. B. (discussioncontributions)

Ah oui, tout à gauche.

Romjerome (discussioncontributions)

Il y a un autre secteur "hybride" : 'franco-alsaco-prussien' dans la commune, autour du pont tournant (1853) !

  1. En 1852, un tronçon de la rue Lignée est supprimé. Ce dernier rejoignait la rue de la forêt.
  2. Puis remplacement du tronçon et construction du pont de chemin fer (ligne Paris -> Strasbourg), construction du pont mobile en 1853.
  3. En 1872, le pont est doublé (élargissement pour la ligne vers Haguenau)
Romjerome (discussioncontributions)
P. B. (discussioncontributions)

Le bâtiment adopte un style officiel "Second Empire low cost". Je m'interroge sur les corniches qui ne surmontent, au 2e étage, que 2 des fenêtres. D'habitude, soit en met partout, soit on n'en met nulle part.

Romjerome (discussioncontributions)

Il y avait peut être le télégraphe, quelque part sur le toit ?

Je pense avoir trouvé d'autres immeubles "hybrides" sur la commune :

  • 1 rue du Général Leclerc
  • 6 rue du Général Leclerc
  • 9 rue du Rempart
  • 1-3-5 rue du Général de Gaulle
  • 22-24 rue du Général de Gaulle

etc.

P. B. (discussioncontributions)

Je ne vois pas trop le point commun entre ces bâtiments, c'est tutti frutti, XIXe et XXe siècle. La poste n'est pas hybride, c'est un édifice cohérent, comme d'ailleurs ceux de la liste.

Romjerome (discussioncontributions)

C'est certain, le style est chaque fois propre à l'immeuble. Simplement, par hybride, j'entendais XIXe au cahier des charges plutôt libre (français, prussien, alsacien, vendenheim).

Romjerome (discussioncontributions)

Si, par exemple je devais classer et grouper les immeubles, alors ceux de la liste, ainsi que ceux autour de la gare, me poseraient des questions et choix délicats. Pour le style alsacien à colombage, le "moderne/contemporain", les années 20/30, etc. on y arrive sans trop de soucis. Je ne prends pas beaucoup de risques en excluant le style renaissance ou gothique à Vendenheim. C'est la zone grise qui me pose problème. Je suis d'accord pour le "Second Empire low cost" de l'ancienne poste. L'immeuble voisin (n°8), c'est déjà plus compliqué, même si théoriquement (d'après les gribouillages sur le cadastre), il est de la même période que le n°6. Quand au n°11 et n°13, selon moi, ils peuvent rejoindre ma liste personnelle de bâtiments "gris" (ou sans parenté bien définie).

P. B. (discussioncontributions)

Disons qu'à partir des années 1840 les paysans les plus aisés commencent à (re)construire, ils abandonnent le colombage et adoptent les codes classiques (chaînes, bandeau, proportions des fenêtres), contraste crépi/grès. Je soupçonne l'architecture publique d'avoir contribué à diffuser ce style dans les campagnes. Ca dépend aussi des endroits (brique près des briqueries et loin des carrières). Après 1870, on diversifie les matériaux et les formes.

Romjerome (discussioncontributions)

Vendenheim, un micro-laboratoire sur l'architecture péri-urbaine (ou semi-rurale) ?

Peut être un doute sur la construction d'une grande ferme (route de Strasbourg) en ... 1825 (même époque que la maison commune, en 1825). Ceci a peut être "amorcé" le mouvement. L'année 1825, reste "précoce" pour basculer sur de la pierre de taille et des éléments de décor classiques, dans une commune rurale (même pas chef-lieu de canton). Il s'agissait de ... l'ancien relais de poste !

P. B. (discussioncontributions)

Un maître des postes est un notable. Je suppose que trouver du grès à Vendenheim n'était pas chose facile, donc il fallait y mettre le prix. Le relais est très post-XVIIIe siècle : hormis les fenêtres à linteaux droits (on trouve encore des linteaux arquées au début du XIXe siècle), tout est conforme à une maison de notable de 1765. C'est tout à fait possible qu'il ait lancé une mode. Tardive : chez moi ça commence après 1750.

Romjerome (discussioncontributions)

D'aucuns pensent qu'il y avait "un grand relais de poste entre 1820 et 1848 avec écurie pour 60 chevaux à l'emplacement de l'actuel numéro 7 route de Brumath"[1], d'autres rapportent que Vendenheim fournissait des chevaux au relais de Roeschwoog. La ferme au 14 route de Strasbourg fut peut être le relais de poste entre 1848 et 1853... Quand le maire de Vendenheim, M. Koebel n'avait plus de mandat. Il semblerait que la "ferme Koebel" fut également une huilerie (révolution industrielle ?). Bref, des histoires de petite "baronnie locale"...

  1. Vendenheim Mémoire et Souvenirs page 58
Romjerome (discussioncontributions)

Entre 1819 et 1836, apparaît au n°102 grande route, un certain Kieffer Jean Baptiste, receveur.

Romjerome (discussioncontributions)
Romjerome (discussioncontributions)

...surtout que le canal de la Marne au Rhin n'était pas encore là... Vous estimez la date de construction de la ferme avant 1825 ?

P. B. (discussioncontributions)

Non, 1825 ça peut coller.

Romjerome (discussioncontributions)

Est-ce qu'ils auraient récupéré des élements d'un ancien relais de poste situé de l'autre côté de la rue (au n°7) ?

Romjerome (discussioncontributions)
P. B. (discussioncontributions)

Actes notariés...

Romjerome (discussioncontributions)

Je vérifie tout de même ce qu'il pouvait y avoir au n°7 de cette voie avant 1853 (arrivée du canal et du chemin de fer dans la commune).

P. B. (discussioncontributions)
Romjerome (discussioncontributions)

Il y en a à La Wantzenau, le village d'à côté, vers Reichstett, ainsi qu'à Brumath. Vendenheim est vraiment au milieu, cela tend plutôt vers la piste de la grande écurie pour les relais de poste ? La route impériale/nationale fut refaite vers 1811 et son tracé modifié/redressé vers 1790. Il y eut peut être un arrêt temporaire dans la commune ?

P. B. (discussioncontributions)

Rien trouvé non plus en 1806 et à une autre date entre 1806 et 1837 (voir google livres). J'ai l'impression que les gens imaginent des relais de poste un peu partout, je connais deux exemples. Voir les confondent avec des bureaux de poste.

Romjerome (discussioncontributions)

La grande écurie serait à l'emplacement de l'ancienne auberge "À l'Agneau" (zum Lamm) - 7 route de Brumath. Il y a une subtilité au cadastre puisqu'en 1845 cette partie est notée comme lieu-dit "Village" avec la lettre G entre les numéros 579 et 601.

Pour "l'histoire de Napoléon", c'est plutôt entre le RothHoh (actuel carrefour de la zone commerciale) et la commune de Hoerdt. Effectivement peut être sur le ban de la commune, mais vers la raffinerie.

Romjerome (discussioncontributions)

C'était peut être tout simplement un élevage de chevaux pour les relais de poste !

Romjerome (discussioncontributions)

C'est bien ce qui me semblait, il n'y avait qu'un receveur municipal (percepteur ou facteur ?).

P. B. (discussioncontributions)

Les facteurs ne se développent que dans les années 1860.

P. B. (discussioncontributions)

Quel rapport entre les corniches et le télégraphe ? Oui, on le voit.

Romjerome (discussioncontributions)

À l'usage, on sait que sous des lignes aériennes (par exemple, l'alimentation électrique), les toitures "souffrent" plus que sans ce cheminement de câbles... Le télégraphe est au milieu de la toiture, est-ce que des fils ne passent pas au-dessus de ces corniches ? C'est une hypothèse pas une question qui demande une réponse. Simplement mon "expertise" d'usage, est que quand les câbles aériens passent au-dessus des toitures, alors on peut être certain que l'humidité va s'y plaire... Grosses gouttes sur le temps long face aux petites gouttes qui ruissellent. Techniquement je ne sais pas si c'est lié à la composition des gaines (ou le cuivre ?), néanmoins on devine facilement le passage des câbles aériens quand une toiture a quelques années.

P. B. (discussioncontributions)

J'appelais corniche l'élément en surplomb au-dessus des fenêtres. C'est un élément décoratif qui vient de la Rome antique et qui sert sans doute de larmier, pas la corniche du toit.

Romjerome (discussioncontributions)

Le larmier n'est pas que décoratif ? Un nez de balcon, une goutte d'eau, un dauphin de gouttière, etc. ont aussi une fonction "utile".

P. B. (discussioncontributions)

Un larmier ça sert à repousser les eaux de ruissellement, mais finalement je doute que la corniche d'une fenêtre puisse servir à ça puisque la partie supérieure est plate. Les moulures, ça sert aussi à projeter des ombres pour faire vivre les façades.

Romjerome (discussioncontributions)

L'exposition est Est/Nord-Est : des ombrières pour le soleil du matin ? Plus sérieusement, pour moi cela ne choque pas, si c'est décoratif, alors c'est qu'il y en avait en "stock" ! Que faire si il y en avait que trois disponibles...

P. B. (discussioncontributions)

C'est ce que j'ai lu dans un article sur l'oeuvre de Viollet-le-Duc en tout cas. Généralement, on souligne une travée par ce moyen. Par exemple, une travée comprenant la ou les portes d'entrée, mais bizarrement ici ce n'est pas le cas. A moins qu'on est rapidement supprimé les entrées latérales pour en percer une au milieu. Dans ces cas, il faut observer les traces de ces éventuels travaux in situ. Faire parler la pierre.

Romjerome (discussioncontributions)

Les corniches sont effectivement toujours là. Mince, je n'avais jamais remarqué cela... Il me semble que le bâtiment appartient à la commune et des familles dans le besoin, y logent.

Romjerome (discussioncontributions)

Exemple plus contemporain : les réalisations de NOOS/Numéricable/SFR (1990) ou les opérateurs fibre, le long des façades...