Actualités adresse:Musée Unterlinden, ancien couvent (Colmar)
1 rue d'Unterlinden (Colmar)
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Date de construction | 1252 à 1269 |
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Structure | Lieu de culte (église, temple, synagogue, mosquée) |
Courant architectural |
Gothique |
Date de construction | environ 1250 à 1300 |
Structure | Couvent / Monastère / Abbaye |
Courant architectural |
Gothique |
Date de construction | 1860 à 1863 |
Architecte |
Louis-Michel Boltz |
Sculpteur |
Auguste Bartholdi |
Entrepreneur |
Victor Reeb |
Structure | Statue/sculpture/oeuvre d'art |
Date de remontage | 1875 |
Structure | Fontaine/puits |
Date de transformation | 6/2012 à 12/2015 |
Architecte |
Jacques et Pierre Herzog & de Meuron |
Structure | Musée |
Date de restauration | 6/2017 |
Structure | Fontaine/puits |
Classement Monument Historique | 1852 |
Consultez les 24 actualités de l'adresse |
Retable d'Issenheim1
Date | 1512 à 1516 |
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Historique de l'oeuvre
Véritable trésor de la collection du Musée Unterlinden, le Retable d’Issenheim est l’une des œuvres les plus admirées du musée. Ce polyptique composé de panneaux peints et d’une caisse sculptée présente des épisodes de la vie du Christ et de saint Antoine.
- Il a été réalisé entre 1512 et 1516 pour la commanderie des Antonins d'Issenheim, d'où son nom. La partie sculptée est attribuée à Nicolas de Haguenau 2 et les panneaux peints à Mathias Grünewald.
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- A la Révolution, le retable est démonté et entreposé à Colmar en 1793, au musée national (ancien collège royal des Jésuites) puis transféré, à son ouverture en 1853, au musée Unterlinden.
- Lors de la Première Guerre mondiale, il est placé dans une salle blindée d'une banque puis transféré à Munich le 13 février 1917 pour restauration. Il retrouve sa place au musée en septembre 1919.
- Lors de la Seconde Guerre mondiale, en 1939, il est caché au château de Lafarge, près de Limoges puis au château de Hautefort en Périgord. En 1940, le retable est transféré au château du Haut-Kœnigsbourg dans le plus grand secret. L'armée américaine le découvre en 1944 et, le 8 juillet 1945, il revient au musée.
Descriptif de l'oeuvre4
Le retable est présenté démonté.Des maquettes permettent de voir l'ensemble et d'ouvrir les volets.
A la tribune surplombant la chapelle, l'espace est réservé à l'histoire du retable avec un écran interactif,
et des panneaux permettant une découverte tactile aux non-voyants.
Le retable fermé représente la Crucifixion encadrée par les images de saint Sébastien à gauche et saint Antonin à droite. Sous la scène centrale, la prédelle montre une mise au tombeau.
- La première ouverture du retable est constituée de quatre panneaux qui représentent, de gauche à droite, l'Annonciation, la Nativité et le concert des anges, la Résurrection.
- La deuxième ouverture du retable comprend un corps central sculpté encadré par deux panneaux peints.
- Sur le panneau latéral gauche Grünewald a représenté la visite de saint Antoine à saint Paul et, sur le panneau de droite, la tentation de saint Antoine.5
Maquette montrant la deuxième ouverture: coeur du retable en bois sculpté, à droite, Tentation de saint Antoine, à gauche, visite de saint Antoine à saint Paul6
Au centre, saint Antoine assis en majesté, à ses pieds, un paysan apportant un coq et un bourgeois un cochon, à gauche saint Augustin dont les Antonins avaient adopté la règle, à ses pieds, le précepteur de l'ordre, Jean d'Orlier, à droite saint Jérôme, biographe de saint Paul l'ermite, à la prédelle, le Christ et les Apôtres
Retable d'Issenheim pour les non-voyants
Date | 11/2012 |
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"Une copie sculptée du retable d’Issenheim réalisée par l’atelier Jean-Jacques Erny de Colmar est présentée sur la tribune surplombant la chapelle dans l’espace Histoire du retable. Elle est plus petite pour être plus facilement appréhendée par les aveugles etmalvoyants. 7
Un texte audioguidé complète le "toucher" des panneaux de tilleul (de la même essence que les panneaux peints du retable).
Restauration du Retable d'Issenheim8
Date | 9/2018 à 2020 |
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La restauration du Retable d’Issenheim a débuté par les sculptures le 18 septembre 2018 au Musée Unterlinden. La restauration se poursuit par périodes au cours de l'année 2019 et continuera en 2020. Elle est prévue pour une durée de plus de trois ans9.
Montant du budget prévisionnel de restauration: 655 800 Euros9.
Le retable d’Issenheim reste visible pendant sa restauration. Le musée propose des visites, "le Retable se fait une beauté" 10 pour découvrir les phases successives de la restauration, du nettoyage à la réintégration de la polychromie pour les sculptures et les encadrements et de la couche picturale pour les panneaux peints. (prochaine visite le 28/12/2019)
"Cette restauration permettra la conservation de l’œuvre et révèlera la vivacité des coloris du peintre, aujourd’hui très obscurcis par un vernis devenu brun."
Statue de Martin Schongauer11
Date | 1860 à 1863 |
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Architecte |
Louis-Michel Boltz |
Sculpteur |
Auguste Bartholdi |
Entrepreneur |
Victor Reeb |
Historique: fontaine et statue
- Le 4 octobre 1857, la société Schongauer passa commande d'une statue à la mémoire de Martin Schongauer à Auguste Bartholdi. Le sculpteur réalise la statue en grès rose de 1860 à 1863. Le projet proposé par Bartholdi était composé d'un piédestal en forme de fontaine comportant quatre vasques et quatre figures allégoriques symbolisant l'orfèvrerie, la gravure, l'étude et la peinture. L'ensemble était surmonté d'une statue de Schongauer.
- En juin 1861, "Louis Boltz et l’entrepreneur Victor Reeb procèdent à l’aménagement de l’implantation" de la statue, placée sur la fontaine le 11 mai 186312.
"Pour un problème d'alimentation en eau, la fontaine ne fonctionna pas pendant près de cinquante ans."13
- En mai 1958, la fontaine fut retirée du cloître et démembrée. Les quatre allégories furent exposées dans la cour du cloître avant d'être déposées au Musée Bartholdi. La statue resta longtemps dans les ateliers municipaux et trouva place devant le musée en 1991.
- A l'occasion du 5ème centenaire de la mort de Martin Schongauer, la statue de l'artiste sera réinstallée près du chœur de l'ancienne chapelle du couvent et inaugurée le 29 juin 1991.
- A l'ouverture du nouvel Unterlinden en décembre 2015, la statue de Schongauer a retrouvé le cloître et se trouve à l'abri dans la galerie nord longeant l'accueil du musée.
La fontaine orpheline orne à présent la place Saint Joseph.
Description
"La statue représente Martin Schongauer. Debout, en tenue médiévale, chaussée de poulaines, vêtu d'une houppelande aux larges manches, bourse à la ceinture, coiffé d'un chaperon à "cornettes", le visage serein, il détache l'épreuve de la plaque de cuivre, geste constituant la dernière étape dans l'élaboration de l'œuvre gravée. La gravure ainsi obtenue représente la Crucifixion, scène souvent représentée par Martin Schongauer."11
Puits de la corporation des Tailleurs
Date | 1875 |
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Avant les travaux du Nouvel Unterlinden, un puits Renaissance accueillait les visiteurs à l'entrée du Musée Unterlinden.
Historique
- Le puits, construit aux environs de 1610, se trouvait rue des Augustins, "devant la maison des corporations, qui regroupait notamment les tailleurs de pierres, les sculpteurs et les peintres de la ville".
- Lors de la démolition de la maison, en 1843, "le puits fut démonté et les statuettes qui ornaient le linteau furent placées dans le Musée Unterlinden14"
- "En 1875, la Société Schongauer reconstruit le puits dans l'enceinte du musée14 " (devant l'entrée de la façade est).
Descriptif architectural
Dans Topographie du Vieux Colmar15, Auguste Scherlen fait une description du puits:
"Il possède une profonde cuve ronde décorée d'entrelacs Renaissance. La partie supérieure est supportée par deux belles colonnes corinthiennes, elles aussi ornées d'entrelacs reposant sur la margelle restaurée. Sur l'entablement supporté par les colonnes se tiennent, de part et d'autre, des statuettes d'angelots et au centre, sur un cartouche évidé, une statuette de femme dénudée drapée de voiles ondoyants (La Fortune ou La Terre ?). Les angelots (putti) portent lances et boucliers. Sur l'un des boucliers, sont représentées deux mains enlacées symbolisant la fidélité. Le linteau du puits a été restauré. De plus on a conservé une belle roue en fer."
Ce puits aurait été érigé en 1610.
Vues anciennes
Un nouvel emplacement pour le Puits de la corporation des Tailleurs
Date | 6/2017 |
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- En 2016, à l'ouverture du Nouvel Unterlinden, le puits de la corporation des Tailleurs, installé devant l'entrée du musée en 1875, est démonté et mis en attente dans le jardin du cloître.
- Début juin 2017, le puits en grès jaune de Rouffach est en train d'être remonté.
Dans l'article de l'Alsace du 3/06/201716, on peut lire:
C'est un "chantier patrimonial d’exception, financé en partie par la Ville de Colmar, la société Schongauer et le Rotary club de Ribeauvillé..." "L'entreprise colmarienne Scherberich assure le travail" "avec d'infinies précautions" car les pièces sont "fragiles et précieuses".
"Les normes actuelles n’autorisant plus l’utilisation de tiges en plomb, les ouvriers ont eu recours à une colle à la chaux, élastique, à la fois compatible avec le grès et le cuivre utilisé pour «goujonner» l’ensemble, afin de ne pas créer d’interférence chimique entre les composants."16
L'emplacement choisi dans le jardin du cloître est celui d'un ancien puits dont les fondations ont été mises au jour.
Cheminée du Wagkeller
Date | environ 1536 |
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Dans la salle du Trésor des Trois Epis, la cheminée du Wagkeller provient du Wagkeller, confrérie qui réunissait de manière conviviale les magistrats de la ville et les notables.
Cette cheminée "traduit la munificence de la première renaissance rhénane (1536) : Charles Quint (1521) est encadré par Mercure et par saint Georges, les deux sources de la puissance temporelle. La cheminée aux armes de la famille Roettlin marque une dernière étape au XVIe siècle : des montants décorés des cariatides et des bouquets. Les taques réemployées proviendraient d un bâtiment de la Régence d Ensisheim, ce qui expliquerait la présence des armoires de l Autriche."17
"Le décor à thème impérial rappelle que Colmar a fait partie, du 14e au 17e siècle, de la Décapole, ligue de dix villes alsaciennes placée sous la protection du Saint-Empire romain germanique."18
Sur le linteau, de gauche à droite: les armes de la ville de Colmar (massue), du Saint-Empire romain germanique (aigle bicéphale) et de la confrérie du Wagkeller19
Porte de la Chancellerie20
Le Musée Unterlinden expose deux panneaux provenant de l'ancienne Chancellerie de Colmar située 6 rue des Augustins.
La porte est en noyer massif avec un décor en "marqueterie en loupe d'érable, érable ondé, fruitier, chêne des marais, loupe de frêne, rehauts d'encre"20. La date mentionnée par le cartel d'exposition est "vers 1550 et 1884", la date 1884 étant celle où le menuisier colmarien Jean Weyh ajouta l'encadrement en noyer sculpté.20
"Le panneau supérieur évoque l'intérieur d'une basilique romaine, celui du bas une vue urbaine comportant, au centre, une porte de ville fortifiée."20
Plafond dit "des demoiselles anglaises"19
Date | environ 1750 |
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Historique
"Le plafond provient d'un hôtel du 18e siècle situé rue des Cloches à Colmar. Il abrita de 1773 à 1789 une communauté des "Demoiselles nobles de l'instruction" vouée à l'instruction des filles nobles et bourgeoises. Cette communauté appartenait à la congrégation de Jésus fondée au début du 17e siècle par Mary Ward, catholique anglaise qui était établie en France pour fuir la persécution protestante. D'abord consacrées à l'instruction des jeunes filles anglaises émigrées, les "Demoiselles anglaises" devinrent la première congrégation de soeurs enseignantes non cloitrées."19
La construction de l'hôtel et la commande du décor sont dues à André Bentz (1693-1766), important conseiller à Colmar. "L'oeuvre a été acquise en 1969 au moment de la démolition de l'hôtel puis remontée au Musée en 1971."19
Descriptif19
Le plafond est orné du Triomphe de Flore au-dessus d'une balustrade en trompe-l'oeil vue de dessous avec une forte perspective. La voussure est rythmée par des consoles à volutes et de grands médaillons peints figurant Les Quatre Saisons.
La fresque originale est marouflée sur toile contrecollée sur bois, les ornements et la corniche sont en stuc reconstitués d'après le plafond original.
Le trésor des Trois Epis21
Le trésor des Trois-Epis fut découvert le 4 mai 1864 , lors des travaux devant la chapelle Notre-Dame des Trois-Epis, haut lieu de pèlerinage marial depuis le Moyen Age.br>
Un chaudron de cuivre contenait plus de 20 kg d'objets précieux, bijoux et monnaies donnés comme ex-voto par les pèlerins.
L'étude du trésor donne comme hypothèse que le chapelain a enfoui le chaudron à l'approche de l'invasion suédoise de 1632. La chapelle fut pillée mais le trésor ne fut ni découvert, ni récupéré par le chapelain.
Les monnaies furent vendues. La commune d'Ammerschwihr offrit au musée l'objet le plus curieux: le vidrecome. En 1869, le musée Unterlinden acheta les autres objets du trésor.
Le trésor des Trois-Epis est devenu le noyau initial de la collection d'orfèvrerie, témoignage exceptionnel de l'orfèvrerie de la Renaissance.
Le Vidrecome, baquet avec bec versoir en bois, bec terminé par un embout en argent, corps en bois entouré de 3 cercles en argent, couvercle à anse, en argent gravé et portant le millésime 1612 et 21 écussons en argent suspendus... Base Joconde [archive] , consultée le 24/05/16.
Statue de Pfeffel devant le musée Unterlinden
Date | 1859 à 1918 |
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Sculpteur |
André Friederich |
De 1859 à 1918, le monument Pfeffel se trouvait devant le musée d'Unterlinden.
"Pour le cinquantenaire de la mort du poète et pédagogue Théophile-Conrad Pfeffel (1736-1809), le sculpteur André Friederich, de Ribeauvillé, fit don à la ville de Colmar d'une statue qui fut érigée devant le musée d'Unterlinden. Elle a été inaugurée le 5 juin 1859 en présence du maire Hercule de Peyerimhoff. Les intempéries ayant rapidement usé la pierre, une galvanoplastie exécutée par la "Galvanoplastische Kunstanstalt" de Geislingen remplaça le monument original en 1899."22
La statue, réalisée en 1859 par le sculpteur André Friederich , s’était abîmée et avait été remplacée par une copie en bronze en 1899.
En septembre 1918, la copie fut enlevée et amenée à Francfort afin d’être fondue pour les besoins de l’armement.
Le monument a donné son nom au Restaurant Pfeffel, voisin du musée d'Unterlinden.
La cave
Dans l'ancien musée, la cave se trouvait au rez-de-chaussée, on y accédait par la galerie nord du cloître.
Depuis décembre 2015, la cave est présente au sous-sol.
Historique
C'est en 1927 que le conservateur Jean-Jacques Waltz, dit Hansi décida de reconstituer une cave au Musée Unterlinden. La collection présente des pressoirs, le plus ancien date de 1654, des tonneaux23 ainsi que les outils des vendangeurs et des vignerons.
Nouvelle salle d'archéologie24
Date | 23/01/2020 |
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Après neuf années de fermeture, la nouvelle salle d'archéologie ouvre ses portes aux visiteurs. "L’inauguration de cet espace a eu lieu le 23 janvier 2020, date choisie symboliquement pour célébrer le quatrième anniversaire de l’inauguration du « Nouvel Unterlinden » le 23 janvier 2016.24"
Cette salle a nécessité la rénovation complète de l'ancienne cave du couvent des Dominicaines. Les collections archéologiques ont été redéployées avec une muséographie plus moderne et "une approche pédagogique et accessible à tous les publics".
"Le parcours de visite chronologique permettra au visiteur de découvrir l’évolution des divers aspects de l’occupation humaine en Alsace : agriculture, artisanat, habitat, vie domestique, pratiques funéraires…"
Deux nouvelles salles25
Date | 07/2022 |
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Deux nouvelles salles faisant partie du parcours permanent du musée sont ouvertes depuis juillet 2022. Situées dans le cloître, au rez-de-chaussée de l'ancien couvent, elles sont dédiées à la création artistique de la fin du 14e siècle et du début du 15e. Cet espace permet de de découvrir le Retable de la Passion peint par Caspar Isenmann entre 1462 et 1465 et restauré.
Références
- ↑ Notice Joconde n°00280000125 [archive]consulté le 07/01/2018
- ↑ https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas [archive] de Haguenau, consulté le 18/01/2018
- ↑ https://fr.wikipedia.org/wiki/Matthias [archive] Grünewald, consulté le 18/01/2018
- ↑ http://www.musee-unterlinden.com/collections/lexperience-le-retable-dissenheim/ [archive] musée Unterlinden, consulté le 2/07/201
- ↑ http://www.histoire.ac-versailles.fr/old/pedagogie/issenheim/issenheim.htm [archive] académie de Versailles, histoire, fiche pédagogique, site consulté le 2/07/2017
- ↑ site du musée Unterlinden [archive]
- ↑ https://web.archive.org/web/20180818044917/https://www.musee-unterlinden.com/visites-et-activites/personnes-en-situation-de-handicap/ [archive]
- ↑ https://www.francetvinfo.fr/culture/patrimoine/colmar-la-restauration-du-retable-d-issenheim-enfin-relancee_3374913.html [archive]
- ↑ a et b http://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Grand-Est/Actualites/Actualites-archivees/Musees/Restauration-du-Retable-d-Isseheim-Musee-Unterlinden-Colmar [archive]
- ↑ https://www.musee-unterlinden.com/evenements/visite-le-retable-se-fait-une-beaute/ [archive]
- ↑ a et b Auguste Bartholdi dossier documentaire et pédagogique. (site internet), [1] [archive], consulté le 8/11/2021
- ↑ A nos Grands Hommes, Monument à Schongauer, dit aussi Monument à la mémoire de Martin Shoen [archive], consulté le 14/12/2021
- ↑ http://etienne.biellmann.free.fr/colmar/fr/schongau3.htm [archive]
- ↑ a et b cartel informatif apposé à l'entrée de la salle, lu le 27/03/2022
- ↑ Topographie du Vieux Colmar (Livre), page 117
- ↑ a et b L'Alsace (journal quotidien) https://c.lalsace.fr/haut-rhin/2017/06/03/l-odyssee-du-puits-de-gres-jaune [archive], Odyssée du puits de grès jaune de Rouffach, article de Nicolas Pinot, consulté le 7/01/2018
- ↑ http://docplayer.fr/9609476-Dossier-de-presse-vue-du-cloitre-xiii-e-siecle.html [archive]
- ↑ cartel informatif apposé au musée Unterlinden près de la cheminée du Wagkeller, lu le 27/03/2022
- ↑ a b c d et e panneau informatif apposé à l'entrée de la salle, lu le 27/03/2022
- ↑ a b c et d cartel informatif apposé à côté de la porte exposée, lu le 23/01/2022
- ↑ https://www.musee-unterlinden.com/wp-content/uploads/2018/06/T3E [archive] Enseignant.pdf
- ↑ Colmar au début du siècle (Livre), Promenade illustrée dans les vieux quartiers, Bernard Grandadam, Jean Luc Eichenlaub, Editions du Rhin, 1988, page 50, avec une photo de la mise en place de la galvanoplastie
- ↑ https://www.cheminsbioenalsace.fr/2016/01/28/le-vin-le-bois-un-mariage-culturel-exceptionnel-c%C3%A9l%C3%A9br%C3%A9-en-alsace/ [archive]
- ↑ a et b Musée Unterlinden (site internet), [2] [archive], consulté le 16/04/2022
- ↑ Revue Le Point colmarien, octobre 2022, page 34
Sources
- guide bleu Alsace.
- Topographie du Vieux Colmar, Auguste Scherlen, pages 117, 227, 400-401
- le trésor des trois-Epis [3] [archive] consulté le 24/05/16
- "Le retable d'Issenheim sculpté pour les non-voyants" article de Elise Descamps, mis en ligne le 29/11/2012,site La Croix [archive], consulté le 2/07/2017
- vidéo sur le site France3- régions [archive], consulté le 2/07/2017
- Rue d'Unterlinden (Colmar)
- Gothique (Courant architectural)
- Lieu de culte (église, temple, synagogue, mosquée) (Structure)
- Couvent / Monastère / Abbaye (Structure)
- Statue/sculpture/oeuvre d'art (Structure)
- Fontaine/puits (Structure)
- Musée (Structure)
- Construction (Type d'événement)
- Remontage (Type d'événement)
- Transformation (Type d'événement)
- Restauration (Type d'événement)