
Personne:Xavier Sandmann
Sandmann |
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Date de naissance | 27 décembre 1803 |
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Date de décès | 1er janvier 1856 |
Métier | Artiste |
Nombre de réalisations | 0 |
Biographie
Dessinateur, lithographe
Xavier Sandmann est né le 27.12.1803 (5 nivose an XII), à Strasbourg, au n° « 6, rue de la Fontaine », fils de François Xavier Sandmann, marchand de vin, et de Françoise Speiser.
(A noter qu’il existe un flou concernant le prénom de l’artiste, qui est parfois prénommé « François Xavier », ou même « François Joseph ». Il ne porte pourtant que le seul prénom « Xavier » lors de sa naissance. On notera que lors du décès de son père, en 1831, il ne signe qu’avec la seule initiale du prénom « Xavier », mais que le greffier lui attribue pourtant par erreur les deux prénoms de son père, à savoir « François Xavier ». De même, il semble bien que les prénoms « François Joseph » lui aient été plusieurs fois attribuées par confusion avec un frère ou un oncle portant ces prénoms, à Kogenheim, d’où la famille Sandmann était originaire).
Xavier Sandmann épouse le 16.3.1836 à Strasbourg Marie Auguste Joséphine Arnaud, fille d’un receveur des Contributions directes1.
D’après Me François Lotz, il était déjà installé lors de son mariage comme professeur de dessin à l’ancien n°4 de la rue de la Demi-Lune. Et en 1837, on le trouve comme peintre à l’ancien n° 66, de la rue du Vieux-Marché-aux-Poissons. Puis pour un motif inexpliqué, il a quitté Strasbourg en 1841 pour s’installer à Vienne, en Autriche, où il décéda le 1.1.1856.
Toujours d’après cette source, Xavier Sandmann était avant tout un dessinateur (d’où sans doute la qualité d’ « architecte » qui lui a été attribuée indûment lors du décès de son père) et un lithographe, plus accessoirement un aquarelliste et, plus accessoirement encore, un peintre. Son oeuvre de dessinateur et de lithographe est assez considérable, selon Me Lotz, si l’on se fie à la liste qu’il en a établie dans la notice consacrée à cet artiste.
On mentionnera dans cette liste sa suite de vingt planches dessinées et lithographiées par lui sur les « Vues intérieures de Strasbourg » chez Simon, en 1840, en collaboration avec Jean Pedraglio, ainsi que ses quatre vues de Strasbourg, en 1840-41 par Simon fils, à Strasbourg2.
Il fut membre du Comité pour l'encouragement des artistes alsaciens3.
Adresses liées
Maison de la Capitulation à Illkirch (vers 1835)
Théâtre de Strasbourg (1838)
Montagne Verte (vers1840)
Vue du Bassin de l'Ill (vers 1840)
Eglise Saint Thomas (1840)
Vue de la Halle aux Blés (1840)