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Adresse:3 rue du Travail (Strasbourg)

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3 rue du Travail

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Date de construction date inconnue
Structure Immeuble
Courant architectural mouvement moderne

Date de construction 1934
Architecte Charles Hunzinger
Courant architectural mouvement moderne
néoclassique
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Reconstruction


En 1953, une demande de reconstruction à l'identique est déposée par la Société Civile Immobilière Viga. Les plans associés à cette reconstruction évoquent des "dommages de guerre", ils sont élaborés en 1946 par l'architecte G.Maechel.

En 1954, la reconstruction à l'identique de l'immeuble est validée et le permis est accordé.

Les travaux sont achevés en 1955.

En 1964, la SA Robert Bosch France entreprend la transformation du rez-de-chaussée au niveau du magasin.

En 1975, de nouvelles portes d'entrée et devantures sont commandées par Nova Services SA.

Construction de 19341

Date 1934
Architecte Charles Hunzinger


Construction

La demande d'autorisation de construire est déposée le 26 juillet 1934 par la Société Anonyme Immobilière Becco Matter & cie, qui est une fabrique de confiserie localisée route des Romains.

L'architecte engagé afin de mener à bien ce projet est Charles Hunzinger.

Concernant l'échelonnement des travaux, l'inspection du 13/10/1934 tient lieu de réception du gros-oeuvre, tandis que la réception finale a lieu le 29/12/1934, même si selon les annotations de la Police du bâtiment, le crépi n'est pas encore commencé en façade, et l'installation de l'ascenseur n'est pas terminé.

Les plans de 1934 mentionnent que cet immeuble a été initialement conçu avec son voisin du 5 rue du Travail. Il y a effectivement une continuité stylistique entre les deux édifices, mais également avec son autre voisin, l'immeuble situé 1 rue du Travail.

Effectivement, pour comprendre ce bâtiment, il faut l'envisager avec ses deux voisins, qui sont tous deux des immeubles d'angle. Ce bâtiment central se trouve entre deux immeubles plus élaborés, plus décorés, au programme architectural plus ambitieux. Cependant, les deux principes fondamentaux des immeubles latéraux ont été repris et respectés. Le premier renvoie aux lignes horizontales (signes de la modernité) qui traversent la construction. Le second concerne la reprise de détails néoclassiques (pilastres cannelés, consoles).

Pour aller plus loin, on peut considérer cet immeuble comme une version simplifiée et aplanie de l'immeuble 5 rue du Travail.

L'immeuble, comme ses deux voisins, matérialise une sorte de compromis entre la voie de la modernité et la référence classique.

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