Adresse:43 Route de Bischwiller (Bischheim)
43 Route de Bischwiller (Bischheim)
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Date de construction | date inconnue |
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Construction1
Date | avant 1899 |
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L’auberge-cinéma « Au Lion d’or » 2, décorée par Léo Schnug3, déjà mentionnée en 18994.
Au lendemain de la première guerre mondiale le restaurant-cinema du Lion d’Or était tenu par Adolf Schneider5.
Démolition6
Date | après juin 2018 |
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Le 20 novembre 1991, la société de construction, d'aménagement et d'équipement de Bischheim (SCAEB), acquière l'immeuble situé 43, route de Bischwiller7.
Le bâtiment est détruit après le printemps 20188.
Construction9, 10
Date | vers 2019 |
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Architecte |
Hans Näser |
Une adresse "très privée" parées de garde-corps ouvragés aux reflets cuivrés9.
Vers 2019, une pharmacie déménage du 48 route de Bischwiller11 (de l'autre côté de la voirie, à l'angle avec la rue du Général Leclerc12) vers le local commercial du nouvel ensemble immobilier9.
Références
- ↑ Carte de Bischheim, vers 1898 (BNU) [archive]
- ↑ "Le Lion d’Or, au 43 route de Bischwiller, à Bischheim, existait déjà en 1917 : un cinéma de 350 places, une « auberge-cinéma », sonorisée en 1932. C’est à cet emplacement qu’on trouva pendant longtemps la fameuse boîte de nuit Offshore, qui ferma ses portes en 2015. Mais Bischheim avait aussi un cinéma, Le Parisien, rue de l’Église. Et le Cheval-Blanc, salle des fêtes et de spectacles, accueillit aussi des projections cinématographiques. - Dna du 3 avril 2019 - Les cinémas disparus de Strasbourg, l'hécatombe des années 80 [archive]
- ↑ thèse 'Du Moi au Dessin : l'expression plastique de la folie', Zahedi Haleh (2018) [archive] : "Schnug est l’auteur des fresques du restaurant Le Lion d’or à Bischheim en 1899, de la façade du bistrot Zum Ritter à Strasbourg (actuellement foyer des étudiants catholique) en 1903, de la salle des fêtes du lycée de jeunes filles (actuellement le lycée Pontonnier) en 1903, de la pharmacie du Cerf (actuellement la Boutique culture à Strasbourg) en 1904, du restaurant Stiftskeller à la Kammerzell de Strasbourg en 1904, de la brasserie Löwenbräu (rue des Grandes Arcades à Strasbourg) en 1906, de la façade du 10, rue du Général Rapp (toujours conservée) en 1906."
- ↑ Aspects de... Bischheim au fil des siècles .4., Jean-Pierre Zeder, pages 12 [archive] et 38 (BNU)
- ↑ Annuaire de la ville de Strasbourg (et des environs) de 1921, pages 781 et 782 (version numérique) [archive]
- ↑ Un permis de construire a été déposé pour la démolition puis reconstruction de 38 logements sur 2470 m2 (bureaux 344 m2, commerces 709 m2). Permis de construire déposé par SCCV LE CAPITOLE [archive], n° 06704317V0017, surface existante : 1938 m², surface construite : 3523 m², surface finale : 3523 m² - base de données Sit@del2
- ↑ Rapport de la cour des comptes sur la société de construction, d'aménagement et d'équipement de Bischheim (SCAEB) [archive], juin 1999
- ↑ Google maps (juin 2018) [archive]
- ↑ a b et c Hans Naser [archive] - Architecte du Capitole - " L'enjeu de ce projet à l'architecture sobre et contemporaine réside dans la requalification des espaces aux alentours de l'hôtel de ville qui se lit actuellement comme une césure route de Bischwiller, de par son implantation en recul et son architecture du début du siècle. Le bâtiment projeté, qui s'inscrit dans le contexte urbain du coeur de Bischheim en réinterprétant la typologie des anciennes fermes, redéfinit une place urbaine en relation avec la mairie. Ce qui était un lieu de passage devient, par sa configuration ouverte et son programme mixte, une place piétonne qui redonne son statut à l'hôtel de ville et ajoute un centre animé à la ville de Bischheim." - https://www.alcys-residences.com/appartements-neufs-bas-rhin/residence/le-capitole-bischheim-centre-67 [archive]
- ↑ Thalès architecture [archive] - 13 rue du Château d'Angleterre (Bischheim)
- ↑ acte sous seing privé lors de l'acquisition et la gestion de la pharmacie localisée au 43 route de Bischwiller à Bischheim (13 mai 2020) [archive]
- ↑ "la ville et l’Eurométropole ont profité de chacune des opportunités qui se présentaient pour acquérir les biens mis en vente au fil des années. Une démarche communément appelée « faire de la réserve foncière » en prévision d’un objectif à atteindre. En 40 ans, ce sont seize bâtiments qui ont été démolis. Les deux derniers en date l’ont été en 2023 aux N°14 et 16 de la rue. Un an avant, c’est celui de la pharmacie située à l’angle de la route de Bischwiller et de la rue du Général Leclerc qui disparaissait suite au transfert de l’officine dans le nouveau bâtiment proche de l’hôtel de ville." - Les cahiers de Bischheim n°234 (mars 2024), page 7 [archive]
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